mardi 29 avril 2014

C'est possible de relancer la filière café à l'Est de la République Démocratique du Congo ?



Une trentaine d'organisation de la filière du café de l'Est de la République Démocratique du Congo se réunissent en atelier à Goma pour identifier les actions prioritaires pour le déploiement dans ce secteur en fin de développer des synergies de renforcement une cohérence dans les initiatives publiques et entreprises privées pour la relance de la caféiculture.
 Umoja Kawa un café 100% Congolais une réalité
Tenez ces assises offriront aux autorités l'opportunité de présenter la stratégie nationale de la caféiculture, également de faire un état de lieu de la filière dans les provinces du Nord et du Sud Kivu que dans le district de l'Ituri en Province orientale.
C'est une occasion pour le participent de renforcer le dialogue entre différentes parties prenantes et de déceler les pistes de collaboration pour exploiter des possibles partenariats entre secteur public et privé dans l’appui à la chaine de valeur de la filière café à l’Est de la République Démocratique du Congo.
 Un bon café fin près pour la consommation
A ce titre le Ministre provinciale de l'Agriculture du Nord Kivu, pour lui cet atelier permettre d'améliorer des revenus de petits producteurs de café et des
opérations locales à travers la facilitation d'échanges économiques et l'amélioration et augmentation de la production.

D'aucun de s'interroger du soutient du PNUD à cet atelier ? C'est dans le cadre de son programme avec la République Démocratique du Congo et de palier la croissance inclusive dans le développement durable. Celui-ci vise le développement économique créateur d'emplois durables qui s'intègrent dans la filière économique porteuse, structurées et respectueuses de l'environnement.
Cet atelier est l'initiative de l'ONG international Café Africa.


lundi 28 avril 2014

33 ans après le centre don Bosco Ngangi va obtenir une école de foot à Goma


Le centre des jeunes Don Bosco Ngangi de Goma va bénéficier d’une école de football. 
Le projet initié par le contingent Uruguayen de la MONUSCO sera financé par la Fondation uruguayenne, “CELESTE ». 
 La cérémonie de lancement a eu lieu hier jeudi à l’Institut Technique Industriel de Goma/ITIG. La Fondation CELESTE qui réunit les footballeurs uruguayens et leurs supporters va financer ce projet avec une ONG espagnole à hauteur de 200 mille Euros. Pour M. JULIO CESAR, un des membres de la fondation CELESTE, le but est d’une part, d’inculquer aux enfants bénéficiaires certaines valeurs éducatives et morales; et d'autre part promouvoir leurs talents dans différentes disciplines sportives. Mr. JULIO CESAR
 
Quelques centaines d’enfants âgés entre 10 et 16 ans, valides et handicapés, bénéficieront de la formation que donnera cette école de sport. Ce projet renforce les efforts de formations sportives que l’ITIG/Don Bosco fournit depuis 33 ans maintenant, a dit le Frère Onorato Alonso, responsable du centre des jeunes Don Bosco. 

Reprise de trafic lacustre entre Goma et Bukavu

Les bateaux ont repris, samedi 26 avril, le trafic lacustre entre Goma et Bukavu, deux semaines après la grève des armateurs. Des sources concordantes affirment qu’un compromis a été trouvé entre les autorités provinciales du Nord-Kivu et les grévistes. Le ministre provincial des Transports et Communication du Nord-Kivu, Guillaume Bulenda affirme qu’un délai d’une semaine est accordé aux armateurs pour définir les mécanismes de collecte de 100 FC (0,11 dollar américain) de taxe d’embarquement par 100 kg de marchandise embarquée.
L’interruption du trafic entre Goma et Bukavu a provoqué l’augmentation des prix sur le marché et des difficultés de mobilité entre les provinces du Nord et Sud-Kivu.
A Goma, les commerçants se plaignaient d’avoir perdu 1 400 tonnes de produits vivriers bloquées dans le port. Selon eux, d’importantes quantités de produits périssables ont été jetées dans le lac, faute de moyens et de lieu de conservation.
Les armateurs protestaient notamment contre la nouvelle taxe de 10 USD par tonne de produits vivriers transportés qui leur était imposée par les autorités provinciales. Ils ont refusé de s’en acquitter, expliquant qu’elle ne figure pas dans la nomenclature des taxes auxquels ils sont soumis.

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