samedi 12 juin 2010

Des médecins congolais et néerlandais ont procédé à l’autopsie du corp de Floribert Chebeya

Une équipe de médecins légistes congolais et néerlandais ont procédé ce vendredi 11 juin à l’Hôpital Général de Kinshasa à l’autopsie du corps de M. Floribert CHEBEYA BAHIZIRE. L’équipe néerlandaise était conduite par le docteur Frank van de Goot aidé d’un assistant et d’un photographe.
La partie congolaise était représentée par le docteur Tshomba Honda, Interniste Expert medico-légal. Aucune cause de la mort n’est encore établie de façon certaine. Tout en n’excluant pas l’usage de la violence, l’autopsie indique, jusqu’ici, aucun signe de violence excessive. Afin de déterminer la cause finale de la mort, des recherches complémentaires seront effectuées de façon approfondie dans plusieurs instituts aux Pays Bas.L’équipe néerlandaise a quitté Kinshasa ce soir. Le rapport final sur les conclusions de l’autopsie qui est attendu d’ici 3 à 5 semaines sera d’abord communiqué au Procureur Général de la République pour les besoins de l’enquête. C’est à l’issue des investigations menées par ce dernier que les résultats dudit rapport seront transmis à la famille du défunt. pour en savoir plus contactez Kss-os@minbuza.nl au tél +243(0)998001140.

mardi 8 juin 2010

Ne restons pas éternels copistes, un peuple acculturé est un fainéant.

Redorer la culture à travers la danse traditionnelle modernes, aujourd'hui les chassons traditionnelles -moderne égaille les mariages et plusieurs cérémonies à Goma et Bukavu. Kazembe Musombwa Vianney, père d'une grande famille musicien oeuvrant dans le style traditionnel versions Lega, brosse son parcourt émaillé d'embûches par exemple la non-assistance aux artistes par le ministère de la culture et des arts, le manque de partenaire et le soutient. Nonobstant ce handicape, son parcourt est riche il a participé aux grandes rencontres culturelle d'une Stampe internationale où il est sorti tête haute. Sa musique à Goma et Bukavu redore les moeurs lega dans la communauté Kivutienne.

Je vous dis que la musique traditionnelle avais de l'impact, vous savez que le gens commençait à être acculturé. Savez-vous qu'un homme sans culture est un vaut rien. Voilà que nous avons mis un tonus sur cette culture qui commençait à se dégringoler, nous avons tout intérêt de promouvoir, car c'est ça notre base nous ne devons pas rester des éternels copistes. Sans se vante moi j'ai redonné quelque chose au peuple Murega parce que c'est ma base, le Kilega n'était plus parlé, car certaines personnes avaient honte d'en parler ma démarche de redorer le Kilega était tout d'abord