mardi 23 novembre 2021

ELECTION COMITE COMUNALmp4

Apres plusieurs mois d’une léthargie et absence des animateurs dans diffèrent comité de la Croix-Rouge à Gama, le Comité Provincial de la Croix-Rouge de la RDC au Nord Kivi vient de procéder   aux élections des comités de la commune de Karisimbi et Nyiragongo.


mardi 2 novembre 2021

La Croix-Rouge RDC face aux besoins des vulnérable d'une catastrophe ou...

Ce jour-là notre reporter accompagne les équipes des volontaires de la Croix-Rouge de la RDC au Nord-Kivu avec UNICEF REPONSE RAPIDE UNIRR  en sigle. Ces équipes venues de GOMA, BUTEMBO et BENI  se sont joint à d'autres de KIRUMBA, KIKOVU, KAMANDI et KANYANDAHE via BUHOYO dans le but de cibler, sensibiliser et distribuer de kit aux déplacés.


lundi 1 novembre 2021

Quand des secouristes de la Croix Rouge de la RDC partage la Souffrance...

Ils sont plusieurs ménages ayant fui leurs villages à cause de l'insécurité et des récents affrontements contre Les Mai-Mai lors  des opérations conjointe  FARDC et les ECOGARDES de l’ICCN dans le village de NDWALI. Certain parmi ces déplace traversent un calvaire inédit. Comme le témoigne cette femme souffrante d'une paralysie de membre inférieur. Suivez ce reportage 


La Croix-Rouge de la RDC dans le projet UNIRR apportent un ouf de soulagement à 2191 déplacés de NDWALI

Dans plusieurs quartiers de la localité de KIKUVO, KAMANDI GITE, qui ont accueilli des déplacés venus de NDWALI  après les affrontements liés aux opérations conjointe des FARDC et les Eco-gardes de l’ICCN contre les groupes armé. Devant cette réalité, les déplacés  ayant quitté la zone combat pour se mettre à l'abri, ils sont dépourvus de tout et vivent dans de conditions très précaires.

Dans sa mission d'apporter un soutien aux vulnérable, le comité provincial du Nord-Kivu de la Croix-Rouge avec l'appui de l'UNICEF Réponse Rapide  UNIRR en sigle vient de soulager tant soit peu aux besoins primaires de cette population en détresse venue de NDWALI éparpillé dans plusieurs villages à KIKUVO, KAMANDI ET KANYANDAHE. C’est sont des localités situées à une vingtaine de Kilomètres de la commune rurale de KIRUMBA au sud de LUBERO dans la province du Nord-Kivu. 


mardi 5 octobre 2021

Sécurité : Goma est pollué des véhicules aux vitres teintées et non immatriculé un danger pour la sécurité dans la ville.

 En dépit de l'effort mené par les autorités pour pacifier la province du Nord Kivu à Goma il s'observe dans la circulation plusieurs véhicules non identifier aux vitres teintées seraient l'une de causes qui pérennise l'insécurité en ville de Goma   et ses environs. On note seulement à Goma il ne se passe pas une nuit sans que l'on documente un cas de cambriolage, de kidnapping des assassinats des échangeurs des monnaies. Des bandits utilisent des véhicules à vitre teinté et non identifier après leurs forfait ils disparaissent dans la nature. Quel qu'en soit l'alerte de la population, les services de sécurité ont de la peine pour dénicher ces criminels qui tuent la communauté.


 Comme ces malfrats restent toujours inconnus la population accuse les services de sécurités d'incompétence. Comment juguler cette situation qui prend de l'ampleur dans la province du Nord  Kivu face à cette pollution des véhicules aux vitres teintées qui seraient l'une des causes de l'insécurité ? Nombreux accuse à tors le service de sécurités l'incivisme de citoyens laissent un couloir au bandit qui martyrise les autres. « Nous sommes tués et kidnapper on alerte les services de sécurités hélas aucun succès nous trouvons qu'ils sont complices à nos bourreaux », déceler un habitant de Goma.   Sur cette question la responsabilité est partagée un habitant de  Katindo souligne : « Moi je demande à l'autorité urbaine militaire de prendre de mesure idoine quant à ce. Je me rappelle bien à l'époque lorsque Naason KUBUYA KUNDOS  gérait cette ville Goma,   il avait fait accepter les motards de porter les casques de sécurités et le gilet numéroté, en même temps traces tout le véhicule aux vitres teintées. Moi je demande au maire de la ville de mettre de l'ordre dans la ville tous ces véhicules sans plaque numéro logique aux vitres teintées doivent être hors d'état de nuire c'est ça ma contribution »



En ce moment crucial de l'état de siège décrété au Nord Kivu et en ITURI,   le service de sécurité a un défi à déclarer une cinquantaine rencontrée à KATINDO, l’un des quartiers de Goma. Étant donné que les FARDC  font face à une guerre asymétrique pour sortir de cette ornière il est impérieux à tout le citoyen de faire sien cet état de siège pour que l'aspect sécuritaire soit balisé bien nulle part au monde il y a zéro insécurité.

La restauration de l'autorité de l'état ainsi que la sécurité est l'apanage de tout le congolais patriote. L'apport de chaque citoyen doit aider les Forces Armées de la République Démocratique du Congo de mettre fin aux velléités des groupes armes de toute nature que soit-il.

mardi 28 septembre 2021

16 VOLONTAIRES SECOURISTES DE LA CROIX ROUGE RDC / NORD KIVU HONORE

Butembo : Quand le député provincial Saïdi Balikwisha accompagne les déplacés à retourner à ISALE-VULAMBO.

 

Après les attaques que les Combattants terroristes ADF du 24 au 26 septembre dernier dans la chefferie de Bashu au sud du territoire de Beni, précisément en ISALE et Muthendero. Cette attaque avait créé une débandade et déplacement de la population locale vers Butembo. A ces jours, certains déplacés ont commencé à regagner leur terroir grâce à l'accompagnement du député provincial Saïdi Balikwisha. Toutefois, d'autres déplacés ayant fui les atrocités de ces terroristes hébergé dans des familles d'accueil attendant encore le retour total de la paix chez eux.


Interrogé par LACRUCHE HEBDO monsieur Siméon WAKERETA l'un des représentants du bureau de comité des déplacés basés à Butembo que nous avons rencontré sur l'avenue Fatuma dans le quartier Lumumba en commune de Kimemi confirme que leur bureau avait enregistré au moins 306 ménages des déplacés en provenance de la chefferie Bashu qui avait fui les atrocités commises par les terroristes des ADF. Cependant, pour éviter de laisser la chefferie de BASHU vide à la merci de la barbarie des terroristes, le député provincial élu du territoire de Beni, l'honorable Saidi Balikwisha a commencé à sensibiliser et à accompagner progressivement les déplacés des Bashu a regagné leurs villages. Tenez, sur ce 306 déplacés enregistrés déjà 138 ménages ont déjà rejoint leurs villages, a confirmés à notre micro monsieur Simeon WAKERETA.



Rappelons que, plusieurs centaines d'autres déplacés qui avaient quitté BASHU, dont certain parmi eux préfèrent rester dans les familles d'accueils de la ville commerciale de BUTEMBO. En attendant que la paix se rétablisse totalement chez eux

 

John ETUMBA

dimanche 26 septembre 2021

BUTEMBO : Le Gouverneur militaire Constant NDIMA appelle la population à soutenir les FARDC dans la traque contre ADF

 C’est au cours d'un entretien avec le journaliste à BUTEMBO que le Gouverneur militaire a exhorté la population locale de soutenir les Forces Armées de la République Démocratique du Congo. Et aussi l'effort que fourni le Gouvernement provincial dans la mesure exception qui consiste à éradiquer tous les groupes armés y compris les ADF NALU.

Le Gouverneur militaire, le Général Constant NDIMA appelle la population de BUTEMBO locale à soutenir l'effort des forces armées de la République Démocratique du Congo FARDC dans les traques les forces négatives, y compris les rebelles terroristes des ADF qui tuent chaque les paisibles populations dans la province de l'Ituri et celle du Nord-Kivu. C'est au cours d'un entretien avec les journalistes que l'autorité provinciale a transmis ce message à ses administrés.


Tenez pendant son entretien avec les professionnels des médias de Butembo, le Gouverneur militaire du Nord-Kivu, qui a appris avec consternation la nouvelle de l'incursion des terroristes ADF dans la chefferie des BASHU que l'on considère comme le véritable point de repère des peuples NANDE à –il -indique.

Pendant ce temps le gouverneur a présenté les condoléances à toutes les victimes de cette incursion. Après s'être entretenu avec la presse, le Gouverneur s'est dirigé dans la chefferie des BASHU pour s'imprégner lui-même de la situation sécuritaire qui prévaut dans cette zone.




Précisons que, le Gouverneur militaire du Nord-Kivu vient de lancer un appel vibrant à toute la population de BUTEMBO, BENI et ses environs à soutenir les FARDC pour accomplir la mission que le Chef de l'État leur à confier. Ce à ce titre qu'il a réitéré à ses administrés de soutenir sans faille la bravoure des FARDC qui sont en train de traquer au sacrifice suprême les forces négatives qui écument la région.


Reçu par le Chef de la chefferie de BASHU son hôte n'a pas manqué de manifester son enthousiasme en égard du Gouverneur qui est venu lui-même voir les désastres qui ont été causés par le terrorisme de l'ADF NALU lors de leur incursion dans la chefferie de BASHU. Profitant de sa présence, le député provincial SAIDI BALIKWISHA a remis un mouton comme symbole de travail de la population de la région qui vit essentiellement de l'élevage et l'agriculture. Ce geste un signal pour cet élu du peuple de demander au Général Gouverneur de faire tout pour que la paix soit restaurée dans le GRABEN.

John ETUMBA

mardi 24 août 2021

Go-pass : La taxe de toutes les discordes dans les aéroports de la RDC

 La perception du Go-pass, cette Redevance de développement des infrastructures aéroportuaires (IDEF), et sa gestion peu scrupuleuse font couler beaucoup d’encre et de salive dans tous les aéroports de la République démocratique du Congo (RDC). Certains se demandent pourquoi ne pas tout simplement le supprimer. D’autres affirment avoir raté le voyage pour le non acquittement de cette taxe levée même sur les nourrissons.

Il devrait plutôt être un gilet de sauvetage lors de son instauration, en mars 2019, dans le ciel congolais, qualifié alors de "cimetière à ciel ouvert." A l’époque, le pays avait connu plusieurs crashs, causant morts et désolation. Ce, non seulement parce que les compagnies qui y opéraient ne répondaient pas aux normes, mais aussi et surtout à cause de la vétusté des infrastructures de la Régie des voies aériennes (RVA). Le Go-pass était fixé à 50 dollars par un passager embarquant sur un vol international. Et à 10 dollars pour un vol national. Mais il est, depuis le 1er janvier 2017, passé à 58 dollars pour un vol international. Et à 41 dollars pour un vol national. Ce qui a généré, à la fin de l’année, 31,2 millions de dollars pour le trésor public.
 

Pour la RVA, le maintien en état de fonctionnalité optimale de nouveaux investissements justifie ces moyens supplémentaires afin d’amortir les charges. La majoration touche les services d’embarquement, de sureté et de sécurité. La Taxe à la valeur ajoutée (TVA), elle aussi obligatoire pour tout passager, n’en constitue cependant pas une. C’est plutôt un impôt perçu non en raison du fonctionnement d’un service public. En fait, la RVA a, avec un prêt de la Banque africaine de développement (BAD) – et non par son fonds propre, modernisé l’aéroport international de N’djili (Kinshasa). Elle a équipé son tour de contrôle et a mis les bus pour passagers sur le tarmac. Les pistes des aéroports de Lubumbashi et de Goma aussi, répondant désormais aux normes internationales, font partie du prêt de la BAD.

Supprimer le Go-pass

Selon le rapport de la reddition des comptes du ministère des Finances, exercice 2012, la RVA a collecté 31 millions de dollars entre 2009 et 2010. Accusé de mégestion, le premier comité de gestion est limogé après deux ans de travail. Puis, des nouveaux comités se succèdent à la tête de la Régie. Mais la gestion du Go-pass n’est toujours pas rassurante. Décriée par les passagers dans tous les aéroports du pays, elle suscite aussi des inquiétudes. Pendant ce temps, ce sont des sorties des pistes sous des pluies et des embrasements totaux des avions qui se succèdent. Le ministre de la Justice saisit le procureur général près la Cour d’appel de Matete (Kinshasa) en vue de faire la lumière sur le Go-pass. L’affaire n’apporte toujours pas d’éclaircissement.

"La témérité avec laquelle le Go-pass est perçu (...) et l’opacité dans laquelle il est géré, 10 ans après, ne font aucun doute quant à son caractère inique". C’est du moins ce que pense Claudel André Lubaya, député à l’Assemblée nationale de la RDC, dans sa correspondance au nouveau président de la République. L’élu du peuple place ainsi le numéro un de l’Exécutif (depuis quatre mois) devant ses responsabilités. "J’invite, ajoute-t-il, le Président de la République, Chef de l’Etat et Garant de la nation, à faire usage de ses prérogatives constitutionnelles et de son serment de ne (se) laisser guider que par l’intérêt général et le respect des droits de la personne pour mettre fin aux multiples entraves aux libertés fondamentales et notamment à la liberté fondamentale d’aller et venir garantie par l’article 30 de la Constitution."

"La suppression de toutes ces entraves contribuera au renforcement de l’Etat de droit dans son volet relatif à l’équité de l’impôt par la lutte contre les tracasseries, à la traçabilité de la dépense publique et surtout à l’élimination des abus de pouvoir", affirme encore Lubaya. Il pense qu’un pouvoir qui s’exerce par des décisions injustes et abusives est incompatible avec l’Etat de droit. "C’est le cas du Go-pass", estime-t-il.

Auditer l’agent percepteur

Des députés nationaux, des acteurs de la lutte contre la corruption et des voyageurs avertis ne jurent plus que, depuis l’élection du nouveau président de la République, par l’audition de cette régie. Se référant à la Commission parlementaire de 2011 sur la gestion tant décriée du Go-pass, – dont le rapport n’a jamais été rendu public, – Richard Kandolo, un habitant de Goma, capitale du Nord-Kivu, dans l’est de la RDC, affirme avoir raté "une réunion très importante" parce qu’il n’avait pas l’argent de cette taxe. "Les organisateurs ne m’avaient envoyé que l’invitation et le billet d’avion. Je n’avais alors rien sur moi pour le Go-pass, que je ne connaissais d’ailleurs pas. Etant dans l’incapacité de le payer, j’ai raté mon voyage." Voyant la qualité des infrastructures de l’aéroport internationale de sa ville, cet enseignant du primaire estime que seul l’audit de la RVA va éclaircir l’affectation des ressources du Go-pass.
Alain Wandimoyi



Quand Olive Lembe Kabila promet, elle réalise


« 50 machines à coudre, des couveuses et plus de 2000 houes promesse tenues de Marie Olive Lembe Kabila »

Au total 50 machines à coudre promis aux épouses des militaires et policiers, des couveuses (Incubateur) pour des structures des santés et plusieurs houes pour booster l'activité agricole dans la ville de Kamituga. Ceci est une promesse faite par l'ex- première dame de la République Démocratique du Congo  Marie Olive Lembe Kabila lors de son séjour en 2020 à Kamituga. Cette promesse vient de se concrétiser et apporte la joie aux épouses de policiers et militaire déployé dans cette ville aurifère.

Réunit dans la grande salle au centre de la ville de Kamituga où ces femmes ont réceptionné ce lot des machines à coudre envoyé par Marie Olive LEMBE KABILA à travers son ONG Initiative Plus Olive Lembe Kabila (IPOLK). Satisfaite de cette promesse qui vient de se réaliser, désormais toute la population de cette partie du pays bénéficieront de cet acte de charité que vient de poser Olive Lembe Kabila au profit des habitants de la ville de Kamituga.

Dans leur gibecière ils n'ont pas oublié les structures de santé l'ONG Initiative plus dote aux hôpitaux de cette ville des couveuses ou incubateurs. Pour la petite histoire, on signale que la ville de Kamituga n'a jamais eu ce matériel depuis plusieurs années ce qui était la cause de morbidité aux nombreux enfants lors des accouchements prématuré : « Nos remerciements comme personnels soignant, c'est depuis 14 ans que je travaille ici à Kamituga, j'ai d'abord commencé à l'hôpital général de Kamituga, je n'avais pas vu une couveuse, je suis partie à l'hôpital de Mwenga je n'avais pas vu une couveuse, je suis allée à l'hôpital de l'église catholique je n'ai pas vu une couveuse », Déclaration du Docteur SIFA

Le séjour de Marie Olive Lembe du mois d'octobre 2020 a été une aubaine pour les habitants de cette nouvelle ville où l'activité principale est l'exploitation d'or qui font à ce que les denrées alimentaires provienne d'autres villes et territoire alors que l'inverse est vrai, car c'est une ville à vocation agricole. C'est à ce titre qu'OLK s'est évertué de donner aussi plus de 2000 houe afin de booster l'agriculture

Touché par la demande de ses congénères, Marie Olive Lembe avait déclaré son statut de femme d'un militaire du coup en ricochet, elle consciente de la vie des épouses de militaire et policier c'est pour la raison qu'elle a essayée d'apporter cette activité de générateur de revenue pour que ces femmes épaulent leurs époux. Pour pérenniser cette action, ces femmes pourront bénéficier d'un coaching d'IPOLK c'est seulement avec cette approche communautaire que ces dernières pourront aussi vivre en harmonie et cela pour une cohésion socio-économique : « Maman Olive avait déclaré dans cette salle qu'elle est aussi l'épouse d'un militaire ; elle connait donc les difficultés des épouses de militaires et celle des policiers ». A rappeler Docteur SIFA.  

Il sied de noter que cette promesse était au cœur de Marie Olive LEMBE Kabila et attendu à bras ouvert par les épouses de militaire et policier. Pour manifester l'intérêt de machine reçue, elles ont prouvé leurs engagements à travers le montage de ces outils de couture. Dans l'unanimité ces femmes ainsi que toutes les bénéficiaires ont manifesté la gratitude à l'égard de Marie Olive LEMBE KABILA pour sa promesse tenues.


samedi 21 août 2021

Kamituga : Quand Olive Lembe Kabila promet, elle réalise : « 50 machines à coudre, des couveuses et plus de 2000 houes promesse tenues de Marie Olive Lembe Kabila »

 Au total 50 machines à coudre promis aux épouses des militaires et policiers, des couveuses (Incubateur) pour des structures des santés et plusieurs houes pour booster l'activité agricole dans la ville de Kamituga. Ceci est une promesse faite par l'ex- première dame de la République Démocratique du Congo  Marie Olive Lembe Kabila lors de son séjour en 2020 à Kamituga. Cette promesse vient de se concrétiser et apporte la joie aux épouses de policiers et militaire déployé dans cette ville aurifère.

Réunit dans la grande salle au centre de la ville de Kamituga où ces femmes ont réceptionné ce lot des machines à coudre envoyé par Marie Olive LEMBE KABILA à travers son ONG Initiative Plus Olive Lembe Kabila (IPOLK). Satisfaite de cette promesse qui vient de se réaliser, désormais toute la population de cette partie du pays bénéficieront de cet acte de charité que vient de poser Olive Lembe Kabila au profit des habitants de la ville de Kamituga.


Dans leur gibecière ils n'ont pas oublié les structures de santé l'ONG Initiative plus dote aux hôpitaux de cette ville des couveuses ou incubateurs. Pour la petite histoire, on signale que la ville de Kamituga n'a jamais eu ce matériel depuis plusieurs années ce qui était la cause de morbidité aux nombreux enfants lors des accouchements prématuré : « Nos remerciements comme personnels soignant, c'est depuis 14 ans que je travaille ici à Kamituga, j'ai d'abord commencé à l'hôpital général de Kamituga, je n'avais pas vu une couveuse, je suis partie à l'hôpital de Mwenga je n'avais pas vu une couveuse, je suis allée à l'hôpital de l'église catholique je n'ai pas vu une couveuse »




Le séjour de Marie Olive Lembe du mois d'octobre 2020 a été une aubaine pour les habitants de cette nouvelle ville où l'activité principale est l'exploitation d'or qui font à ce que les denrées alimentaires provienne d'autres villes et territoire alors que l'inverse est vrai, car c'est une ville à vocation agricole. C'est à ce titre qu'OLK s'est évertué de donner aussi plus de 2000 houe afin de booster l'agriculture



Touché par la demande de ses congénères, Marie Olive Lembe avait déclaré son statut de femme d'un militaire du coup en ricochet, elle consciente de la vie des épouses de militaire et policier c'est pour la raison qu'elle a essayée d'apporter cette activité de générateur de revenue pour que ces femmes épaulent leurs époux. Pour pérenniser cette action, ces femmes pourront bénéficier d'un coaching d'IPOLK c'est seulement avec cette approche communautaire que ces dernières pourront aussi vivre en harmonie et cela pour une cohésion socio-économique : « Maman Olive avait déclaré dans cette salle qu'elle est aussi l'épouse d'un militaire ; elle connait donc les difficultés des épouses de militaires et celle des policiers ». Il sied de noter que cette promesse était au cœur de Marie Olive LEMBE Kabila et attendu à bras ouvert par les épouses de militaire et policier. Pour manifester l'intérêt de machine reçue, elles ont prouvé leurs engagements à travers le montage de ces outils de couture. Dans l'unanimité ces femmes ainsi que toutes les bénéficiaires ont manifesté la gratitude à l'égard de Marie Olive LEMBE KABILA pour sa promesse tenues.

  

mardi 10 août 2021

Un SOS pour le Calvaire qu'endurent certains sinistrés de l'éruption de Nyiragongo

 Le volcan Nyiragongo est entré en éruption le 22 mai 2021 laissant plusieurs impacts négatifs sur la vie socio-économique dans plusieurs ménages à Goma et Nyiragongo. Si les humanitaires sont venus au secours à certains nécessiteux, hélas d'autres croupissent toujours dans une misère indescriptible

Il s'agit des sinistrés qui campent dans la concession de l'école primaire Mboga, situé à environ cinq kilomètres de Goma. Leurs nombre évalué à 500 personnes qui logent dans des conditions misérables au merci des intempéries dans des salles de classe. A l'entrée de cette concession, on sent la misère et la douleur atteint toute personne vouée de compassion.



Depuis leur retour de différents lieux au début du mois de juin où ils étaient déplacés, ils n'ont reçu aucune assistance : « Nous n'avons pas la nourriture, pas d'eau nous souffrons les poux nous attaquent. Avec tout ce lot des problèmes personne n'est passé pour nous soulager. », Regrette une femme d'environ cinquante ans.



 Couchés à même le sol et passant la nuit ventre creux, ces victimes de la calamité naturelle vivent un monde indescriptible: « Je ne sais pas comment m'exprimer. Regarde la façon dont on prépare la nourriture, les haricots, patate douce proviennent de la mendicité. »




Vivre à la débrouille et la mendicité

Ne sachant pas comme trouve quoi mettre sous la dent, les femmes sont obligées de faire la mendicité dans les contrées proches ou éloignées. Certaines vont même à plus de 40 kilomètres afin de trouver la nourriture : « Pour manger nous devons quémander. On avait peur pour,  des femmes qui sont allées mendier en territoire voisin à Rutshuru. C'est depuis deux jours qu'elles sont revenues, avant hier d'autres femmes qui sont allées de l'autre côté ne sachant pas distingué la frontière elles ont traversés la limite entre le Rwanda et la République Démocratique du Congo  pour se retrouver au Rwanda. Dieu aidant, elles n'ont pas été arrêtées elles sont rentrées. Trouver la nourriture ici c'est difficile » Témoigne Byamungu Byegulu l'un de sinistré : 




« Pour dormir, c’est  sur le pavement le chanceux sont ceux qui trouvent un peu de feuille séché des haricots ils les utilisent comme matelas et dorment dessus en attendant l'autre jour. » Regrette Kahambu Yvonne

Un soulagement éphémère

Au retour de la maman, c'est la fête des enfants et du papa qui, lui reste comme gardien des enfants. Avec cela, le ménage pourra manger pendant deux ou trois jours et après le calvaire recommence.

Selon nos sources,  deux personnes sont déjà mortes de faim et une autre a été tuée pendant qu'ils quémandaient. Pire encore certaines femmes se font violer lorsqu'elles se rendent dans des coins reculés pour mendier. Comme cela ne suffit pas, la prostitution a élu domicile dans ce site et cela pour seulement trouver quelques chose à mettre sous la dent et  se fait aux frais dérisoire.



Ces sinistrés ne veulent qu'une chose : leur assistance par le gouvernement ou alors par les humanitaires ou personnes animé de bonne volontés qui  passent par  ce site hélas  et aucune aide qui suit. Ainsi, ils se posent une question de savoir pourquoi les autres compatriotes bénéficient des aides régulièrement sauf eux : « Nous demandons aux autorités de nous aider, nous souffrons beaucoup. Personne n'est passé même pour nous apporter de l'assistance comme ils les font pour d'autres. Pitié, pitié... Nous sommes également des êtres humains comme les autres », suppliant une femme qui allaitait un bébé.

La Rédaction

 

mercredi 28 juillet 2021

La Croix-Rouge du Congo sensibilise le sinistrés du volcan sur l'engagement communautaire par rapport aux risques...


 Des centaines de Sinistrés de l'éruption du volcan Nyiragongo du 22 mai 2021 bénéficient un appui de la Croix-Rouge  RDC comité provincial du Nord-Kivu. Plusieurs volontaire passent de porte à porte pour sensibiliser les sinistrés sur le comportement à adopter durent leur séjour dans les camps dans plusieurs villages du territoire de Nyiragongo ...

La Croix-Rouge du Congo apporte un soutien des abris provisoires aux sin...

jeudi 4 février 2021

MWENGA : La hausse vertigineuse des prix des produits manufacturés étouffe le panier de la ménagère à Mwenga

 (Cruche Hebdo-COJODO) : des prix sont au galop sur le marché en territoire de Mwenga, Ils sont passés du simple au triple. Cette hausse est une conséquence à un état de délabrement de la route Bukavu-Mwenga. Les habitants se disent être abandonnés par l'état et récuse l'office des routes pour incompétence. De son côté l'office de route accuse un manque des matériels et équipements adéquats pour réhabiliter cette route reliant la province du Sud Kivu à la province du Maniema.

Ces derniers jours, un sac de sucre se vend à 72.000 Francs congolais soit 36 $, alors qu'à Kamituga il revient à 200 000francs congolais soit 100$. Dans la même ville, un sac de maïs de 25kg revient aujourd'hui à 45 $ pendant qu'il se vend à 11$ à Bukavu. Une bouteille de bière d'une valeur de 3000franc congolais à Bukavu, y varie de 6000 à 10 000Fc Francs congolais à Kamituga.


Cette situation fragilise l'économie des habitants du territoire de Mwenga : « La vie devient de plus en plus difficile ici chez nous. Les prix ont pris de l'encenseur. Il y a peu, un sac de ciment qui coûtait 40 000 Francs congolais soit 20 $, revient aujourd'hui à 150 000franc congolais soit 75 $», regrette Wabiwa Marceline. Pour tout produit, les prix ont galopé et cela à d'impacts même sur le produit agricole par exemple à Kamituga où un tas de légume coûte à maintenant 2 000franc congolais soit 1$. « Imagines pour nourrir ma petite famille de sept personnes, il me faut acheter au minimum 6 à sept tas de légumes, je me demande où trouverais-je 14 000 Francs congolais chaque jour  pour acheter 7 petits  tas d’amarantes ? », s'inquiète une ménagère de Kamituga.

Cette route porte-t-elle malheur ?

C'est depuis une année que le tronçon Bukavu Mwenga Kamituga s'est dégradé. Cette route d'intérêt National la RN2 construite en terre battue, est aujourd'hui caractérisée par de grands bourbiers dans plusieurs localités du territoire de Mwenga, cas de Kasika-Kalimoto. Quitter Bukavu pour atteindre Mwenga, c'est un calvaire. Tous les véhicules s'arrêtent à Bwahungu dans le territoire de WALUNGU. Ce délabrement avancé entraine des conséquences inimaginables sur la vie socio-économique de la population. Au départ le coût du voyage lui-même n'est pas à la bourse de tous. « Pour atteindre Kamituga, il faut avoir une poche bien garnie, faire un aller et retour il faut avoir au minimum entre 190 000 Francs congolais ou 200 000 Francs congolais (soit de 90 à 100$) pour seulement une centaine de kilomètres ! », s'exclame Michel Bulambo un voyageur. Voyager de Bukavu à Mwenga est un luxe appauvrissant. « Comparativement au nord Kivu où les voyageurs parcours plus de trois cents kilomètres avec cette somme, on voit que ce que nous payons est égal au coût d'un voyage pour deux personnes qui font l'aller-retour dans un bus ou une voiture de Goma à Beni-Goma », ajoute un autre.


Pendant cette saison pluvieuse des véhicules s'embourbent, certains passent deux à trois semaines avant d'atteindre la destination, excepté les motos qui pataugent dans ces bourbiers qui arrivent difficilement le même jour. « On se demande pourquoi l'état ne veut pas réparer cette route ? Nous sommes des patrons de l'état nous payons les taxes, mais la population est en train de souffrir et les routes ne sont toujours pas réparé », cris un camionneur.

Des travaux trompent l'œil annoncés !

Depuis octobre 2020 le gouvernement provincial du Sud Kivu a lancé les travaux de réhabilitation de ce tronçon routier dont l'exécution était confiée à l'Office de route, mais depuis lors rien n'a été fait, sauf une pancarte d'annonce de travaux et le déploiement des engins. Pendant ce temps, la population reste perplexe : « c'est en octobre que le gouvernement provincial avait placé cette pancarte ici pour annoncer le lancement de la réhabilitation de cette route, mais sur le terrain, aucun geste n'est posé. On se demande si c'est le début ou c'est la fin ?», s'interroge un notable à Kasika-Kalimoto.

Cette léthargie inquiète et révolte les habitants de Mwenga. Du coup, ils récusent à leur tour, l'expertise de l'Office de route. « Je préfère qu'on retire ce contrat de réhabilitation de cette route à l'Office des Routes. Ils ne font vraiment rien pour nous. Je préfère qu'on mette à leurs places des Chinois, eux au-moins peuvent vite exécuter la réhabilitation de cette route », a indiqué un chef de village.

Cette route RN2 qui relie  Bukavu à Mwenga sur moins de deux cents kilomètre est un casse-tête pour les voyageurs. Des camions mettent plus de deux semaines de calvaire avant d'atteindre leurs destinations.


En dépit des souffrances qu'endurent les usagers de la route nationale  2 (RN2), l'Office de route se dédouane. Anicet Kakese, directeur de l'Office des routes au sud-Kivu confie à Radio Okapi que son entreprise ne dispose pas d'équipements conséquents, mais il accuse subtilement les intempéries : « l'office des routes a un problème de matériels. Nos équipements ont fait dix ans, 15 ans, ça crée  beaucoup de pannes. Mais tout ce qu'on attend, c'est la petite saison sèche qui est toujours perturbée par les pluies. Espérons que ça va s'améliorer durant ce mois de février. »

Sur cette route à terre battue reliant Bukavu-Mwenga jusqu'à Kasongo dans le Maniema, il y a une absence criante des ouvriers pour les travaux manuels. Pour pallier ce problème, l'office des routes plaide pour la reprise du programme de cantonniers pour l'entretien des routes au sud Kivu.

Alain WANDIMOYI