jeudi 2 septembre 2010

De quels droits et justice attend les Kivutients ?

La société civil du Nord Kivu dit non au tuerie et enlèvement dans la province du Nord Kivu.
Non comment! ça devient notre repas quotidien

Sylvestre Bwira explique à la presse de Goma le péripétie de son enlèvement.


Monsieur Sylvestre Bwira président de la société civile Masisi retrouvée après avoir été enlever pendant 6 jours par des inconnue, son visage terrifier avec de trace des corde au bras son T-shirt plein de sang séché.
Depuis plusieurs années le Nord et le Sud Kivu est en proie d'une situation rocambolesque, où plusieurs personnes sont tuées et d'autres ont fuit leurs milieux d'origine à cause d'une mauvaise gestion de la justice, seul le plus fort ont droit à la vie. En 2008 le belligérant (les hommes forts) se sont rencontré à Goma et pendant cette rencontre des accords fut signe, les hostilités ont cessé hélas. Nous sommes en 2010, nous semblons retourné à la case du départ, on signale des affrontements çà et là ((Walikale, Masisi, Beni) des arrestations arbitraires des enlèvements et assassinats. C'est pourquoi je m'interroge d'où viennent cette machine de la mort, pourquoi ça resurgit pendant les préparatifs des élections ? Est-ce que parmi les signataires de fameux accord de Goma il y a des aigris ou les assoiffés de pouvoir, avant que je trouve la réponse à toutes ces questions je constate que le sang de pauvre et innocent Congolais de l'est saigne encore sur la table de tribalisme, de la haine, qui est le responsable ? La main noire qui commandite ces crimes; ces barbarismes doivent sortir de sa cachète pour que le Congolais de l'Est de souffler enfin la paix et une paix durable. On a marre.

mardi 31 août 2010

A qui profite cette polémique sur la nationalité de 26 personnes cantonnées à Mutobo au Rwanda ?

« Je déclaré la main au cœur de ma nationalité Congolais, quel qu’en soit ma déclaration ils m’ont contrains de devenir rwandais d’ailleurs pendant l’enregistrement je persiste et je signe ils avaient pris un Rwandais du Nom de Camile qui nous dicté le nom de localité et district du Rwanda de notre côte on exécuté par une signature avec l’espoir de trouver un salut comme le chose ont tourné à l’envers moi je veux rentrer chez moi en République Démocratique du Congo, je ne veux pas devenir rwandais car tout mes ancêtre se trouve en RDC chez moi c’est à Masisi dans le Lushebere »
Après quatre mois de ré-localisation du Nard Kivu vers le Katanga, pour avoir mordu sur un appât léchant proposé par PAREC certain congolais se déguisèrent Rwandais FDLR pour bénéficier des avantages que l'ONG PAREC proposait au combattants une fois arrivé au Katanga, suite aux conditions inconfortables, le 48 faux ex combattant se révoltent en se déclarant Rwandais pour quitter le Kantanga vers le Rwanda enfin de se rapprocher de la ville de Goma pour regagner leurs milieux d'origines ; lorsqu'ils ont foulés le sol Rwandais, Aussitôt arrivé à Kigali, ces derniers se dé masque du Rwandais avec l'espoir de rentrer chez eux Ici l'équation devient compliqué la RDC, hélas la RDC ne reconnait pas ces 26 personnes qui disent être de la Nationalité Congolaise ! Malgré ce refus certain se taillent la route et regagne RDC, leurs nombre pars de baisse en baisse bien que le Gouvernement Congolais refusait de leur accorder un visa d'entre au Congo, le Rwanda pour sa part persiste et signe que ce sont de sujet Congolais il n'a pas une seule place pour un apatride sur son sol. Selon la charte humanitaire toute personne a droit à une nationalité ceux-ci ont quelle nationalité c'est donc des apatrides, mais ils ont droit à la vie. Un éclaircissement autour de la polémique autour de 26 personnes que le Rwanda et la République Démocratique du Congo ne reconnaissent pas comme compatriote.


Les démobilisés ramené par l'ONG PAREC de la province du Katanga à Mutobo au Rwanda
« Depuis que Mulunda nous a laissé ici sous prétexte de venir nous voir nous n’avons rien en dehors de la nourriture (le riz et le mais) mois je ne saurais pas supporter cette vie ici one sais même pas manger le foufou, nous passons nuit à même le sol ! Regarde, je n’ai même pas de lotion pour ma peau ni pour mon enfant qui ne parvient pas à bien dormir à cause de mauvaise condition ; autant mourir en prison chez nous en RDC que de vivre dans pareil calvaire », conclut Nyirabaregwa Sifa Furaha l’une de ces apatrides ressortissant de Lushebere, trouvé dans le camps de réinsertion de Combattant à Mutobo au Rwanda.
Coup de projecteur sur cette question qui fait couler beaucoup d'encre et de salive entre les officiels Rwandais et Congolais, chaque partie campe à sa position et ces personnes qui deviennent apatride, mais aussi ils ont été au départ vulnérable. Tout est partie de l'initiative d'une ONG qui avait pris l'initiative de sensibiliser et de dé-localiser le combattant FDLR loin de la frontière qui sépare le Rwanda et la partie Est de la RDC enfin que le climat politique tendue à cause de cette question soit serein, mais aussi pacifier certains coins de la RDC en proie de l'activisme de ces combattant Rwandais depuis plusieurs années. L'ironie du sort, ce qui se passe sur le terrain est tout autre, les sensibilisateurs de PAREC ont procédé d'une autre façon ? Pendant que l'opération consistait à récupérer une arme contre50$ dommage que cette option tape à côté, ça devient comme un fourre tout là où les combattant devrait être dé-localisé des foret de la RDC jusqu'au Katanga avant d'être rapatrier au Rwanda, aujourd'hui c'est tout le monde qui parle Kinyarwanda qui sont sensibilisés pour devenir Rwandais : " Je suis un déplacé de guerre, je suis natif de la RDC dans le Masisi, nous avons fuit nos milieux d'origine suite à la guerre qui avait commencé en 2005 dans le Masisi, comment je me suis retrouvé dans le groupe de personnes à rapatrier, je revenais dans la recherche de quoi mettre sous la dent, j'ai retrouvés les sensibilisateurs du PAREC qui cherchait ceux qui parlent Kinyarwanda, j'ai posé la question cela concerne tout le monde ? Ils m'ont dit oui, voilà pourquoi, nous allons te prêter une arme que tu iras présenter au pasteur Mulunda et après s'être photographier pour recevoir 50$ , étant vulnérable j'ai accepté l'offre peu à peu ils m'ont ravi." Selon les dernières informations a notre possession il y a plus un seul dans le camp de réinsertion de Mutobo ; elles sot tous rentré en République Démocratique du Congo.