lundi 27 décembre 2010

La résurgence des incendies à Goma suscite des inquiétudes.

A Quelques heures avant le sinistre, la danse s'impose.
En espace d'un mois plusieurs maisons sont incendiées à Goma. Je me souviens qu'il y a plusieurs années cette situation s'était déclarée à Goma où plusieurs familles sont restées sans abri causé par ce phénomène d'incendie. Aujourd'hui à la veille des festivités de saint sylvestre la ville de Goma en compte plus de 60 maisons calcinées. J'ai eu des larmes aux yeux lorsque je revenais d'un reportage plus à 40 km de la ville de Goma trouvant un bistrot à Katindo en pleine cendre d’une trentaine de maison, au lendemain de ce sinistre c'est le quartier Birere qui reçoit le même choc.

Voici l'immeuble en décombre.

Le cas le plus marrant est celui du samedi 25 décembre 2010 lorsque les amoureux de la dolce vitae fêté la Noël dans un snack Bar, restaurant de la place qu'un feu violant à gâter la fête laissant tout le bien en cendre. Bien que l'on évoque l'imprudence des enfants ou de ménagères lorsqu'elles font la cuisine, il y a des méchants qui se contentent de provoquer ces feux méchant à Goma. Devant ce calvaire bien que les gens avaient la bonne volonté de sauver ce sinistre, le volontaire ont du pain sur la planche, puisque la ville de Goma ne compte qu'un seul camion anti incendie.


Une observation inopiné du dégât au restaurant snack Bar Soleil de Goma incendié le samedi 25 décembre 2010.

lundi 20 décembre 2010

Des photographes vilipendé et prise en otage par certaine classe à Goma, pourtant des messieurs !

Goma, ville touristique où la photographie s'impose, travaillant dans l'informel tout le monde s'improvise en photographe sans étique et déontologie ils se larguent sur le marché à la recherche de la survie jusqu'à perdre la dignité du métier de photographe, aujourd'hui le public de Goma nargue la photographie et photographes laissé dans leur triste sort. Je suis parmi ceux qui cherchent à revalorisé notre beau métier à Goma hélas, je suis seul contre tous les collègues qui ignorent notre valeur. Je me plains du public qui néglige le travail de photographe que nous sommes. Oh le beau métier vilipendé par des riches, nous sommes limite qui ont squatté les espaces public en érigent des hôtels au bord du lac qui profite de la naïveté des certains collègues nous mettent en mal jusqu'à leur interdire l'accès sur ce lieu public qu'ils ont illégalement acquis, même lorsqu'ils viennent comme un client je me demande si c'est en vertus de quelle lois qu'il est interdit à quelque d'entrer dans un hôtel avec son appareil photo ?



Personne ne s'occupe de photographe dans cette ville même les ministère de la culture, mais les photographe après avoir été privé d'exercer partout ils se sont taillé des ronds point pour exercer. Cette scène représente une personne qui se fait photographie des photos d'identités en plein aire.
Ils sont nombreux sur la pelouse du rond point de banque à Goma, ici ce couple immortalise l'harmonie du couple par la photographie de photographes en herbe.

Très engagé cette endroit est devenue une place de la photo créé par le rejeton. Pendant qu'il exerce leurs sac de reportage sont suspendu sur une pylône, par crainte d'être volé, celui qui ne pas occupe s'occupe de la garde, car ici les enfant de la rue sont actif. Vraiment ces photographes travail dans des condition extrêmement dure!!!
Si les photographes ne le démontre pas qui alors va montré la beauté pour que des touristes vienne à Goma?

Après être maltraité et chassé par certain collègues ils ont choisit ce site à la recherche de la survie; Il consulte son pellicule après la demande d'une belle reproduction devant le monument de trottinette( Chukudu) érigé au rond point devant un dépôt de la bralima à Goma



Nous sommes de monsieur, moi j'ai orienté on angle sur une vision de la photographie en République Démocratique du Congo et son environnement, hélas!

Je me dis est ce ces photographies qui se font rouler dans la farine ne comprennent pas qu'ils font une publicité tacite à ces hôtels, alors combien ils sont payés pour cette publicité ? Je me demande à quand un photographe Congolais surtout de Goma comprendrons que le riche cherche toujours à écraser les pauvres ! Je m'insurge contre cette pratique de prendre les photographes de Goma en otage, tantôt d'une façon péjorative on le fait porter la marque d'un studio au profit du tenancier de ces studios qui divisent notre intérêt commun du photographe. Le débutant de ce métier son exclus personnes ne s'occupent pas d'eux ils sont même chassés comme de chiens au Labo photo, ceux qui ont évolué sont menacés à mort. La réalité est que la photographie est en train de s'affaisser dans au profit des hôtelier et tenancier de labo photo à Goma. Bien que ce que je dénonce est en train de prendre un empileur inquiétante, certain photographes averti se démarque cherchant à contourner cette tendance avilissant le bien-être de la photographie cherche un coup de main pour sortir de l'ornière.

mercredi 15 décembre 2010

Le vin est tiré il faut le boire, Vital Kamerhe démissionne à l'assemblée et quitte le PPRD


Vital Kamerhe annonce ses couleurs, après plusieurs mois de son éjection au perchoir de l'assemblée nationale, c'est maintenant qu'il décide officiellement de quitter l'AMP pour l'opposition en claquant la porte au PPRD au même moment il déchire son statut de député honnêteté oblige. Fidèle à son ex partie qu'il qualifie d'avoir violé son cahier de charge, aujourd'hui vital condamne le gouvernement de pouvoir clochardisé la population, de manque de leader ship présence de gouvernement parallèle, de la corruption, de la démagogie et d'une impunité sans nom ce qui lui pousse de créer son propre parti au nom de l'union de la Nation. Je me demande pourquoi seulement aujourd'hui, pourquoi a-t-il attendu ce moment de l'effervescence des élections, en démissionnant de l'assemblée n'est pas une trahison aux peuples congolais du Sud Kivu qui l'avait massivement voté ? Je me rappelle bien lors de la cacophonie au sujet de l'entrée des soldats Rwandais c'est ça la raison ? Encore une fois de plus le peuple Congolais va être de nouveau ambrasse pour faire le choix de ses dirigeants futur, car tous viennent avec de bons projets de société.

Franchement les élections seront dures et pleine de surprise. Désormais il vient choisir le camp de l'opposition. Le pain est sur la planche pour l'alliance de la majorité qui vient de perdre un militant dans une combine qui d'embarquer plusieurs députés de cette majorité Alliance de la majorité présidentielle aujourd'hui vilipendé par cette dissension et griefs. Au peuple congolais de s'assumer c'est de la politique.

vendredi 3 décembre 2010

La ville de Kisangani non seulement martyr, mais aussi vielle.


Enfin j'ai foulé mes pieds à Kisangani où je suis passé plusieurs fois en transit, A bord de l'avion d'une compagnie, nous avons survolé le ciel sous une verdure de la forêt équatoriale, sous une beauté verte serpenté par le fleuve Congo, dans 45 minutes nous avons atterris sur la piste de l'aéroport de Bangboka. Nous nous sommes dirigé en ville, ou tout me paraissait nouveau, une vielle architecture de l'époque coloniale que je me suis rendu compte que je suis dans la capitale Boyomaise. Avec mon appareil je n'ai pas cessé d'appuyer sur le déclencheur de mon Nikon.
Pas de nouveauté en matière architecturale.
Le couché du soleil reflétant la prospérité de la ville de Kisangani et ses environs sous le fleuve Congo
La Centrale hydro-électrique de Tshopo qui donne la lumière dans la ville et ses environs

La chute de Wagenya

La chose qui m'a fort touché c'est le moyen de transport des Boyomais. Nous étions embarqués dans un mini bus apparemment neuf hélas son collecteur nous dégageait la fumée à l'intérieur, quelle calvaire de parcourir plusieurs kilomètres dans cet état. La journée tout le monde s'occupe de ses oignons la nuit c'est autre chose toute cette vieillesse se cache sous la lumière des lampadaires qui illumine la beauté des filles en majorité svelte, j'ai vraiment admiré la quiétude de Boyoma pas un seul signe d'insécurité comme il est le cas dans d’autres villes dans la partie est de la RDC. Ce que j'ai trouvé de plus particulier à Kisangani est que tout a vieillis, même le site touristique du Wagenya jadis miroir historique de Kisanganga, je me demande est ce la paresse ou les cinq chantiers !

Le vélo (Toleka) un moyen pour desservir le centre urbain de Kisangani en vivre