mardi 16 décembre 2014

Quid de l’hommage à William Elachi, une interpellation professionnelle o...







« 40 jours après sa mort les journalistes de Goma
lui rendent hommage à l’église. »
A l'occasion de la célébration de 40 jours après la
mort de William Elachi, membre de l'information publique à la Monusco Goma, une
messe de requiem a été organisée pour la circonstance. Cette célébration œcuménique
s'est déroulée à la paroisse Saint-Esprit de Goma. Une franche des journalistes
ainsi que ses collègues ont rehaussé de leurs présences à cette messe de
requiem à l'honneur de William qui a été plus rapproché des journalistes locaux
qui se retrouvaient plus rapproché  qu’un
frère et amis qui rendaient service à tout le monde sans tenir compte de son
appartenance. C'est-à-dire une personne au service de tous emplissant ainsi le critère
de Nations Unies s’il faut le dire ainsi.
L'homélie en cette circonstance lue dans les écritures
saintes «La Bible » qui ont corroboré
 le travail que ce pasteur des
journalistes ne cessait de prêcher à ses confrères de Goma. Le prêtre n'a pas
cessé de rappel à chaque passage la mission du journaliste d'abord en le
considérant de prophète, car un prophète meurt toujours d'une façon mystérieuse
le cas de notre confrère William en témoigne. « La mort de William n'est pas une fatalité, car de son vivant, il
sacrifiait son temps et sa connaissance pour les autres à déclarer le
prédicateur du jour »
. Thèse confirmé par la majorité des journalistes
présents.
Durant
la messe il n'a pas manqué de rappeler le rôle d'un bon journaliste comme si ce
dernier était aussi journaliste ;  il a fastigiée la pratique des journalistes
qui mettent en avant plan de l'argent, car cette pratique désoriente le
journaliste de sa mission de prophète. «
Un journaliste est un martyr de la vérité »
a-t-il insisté. « Nous devons nous interroger ce que Dieu
est en train de nous dire à travers la mort de William ? »
, s'interroge
t-il.
« Pour ce faire
le journaliste à la même mission que le prophète, car il informe la population
sur la vérité et meurt toujours d'une façon mystérieuse. En rappel le
journalisme on le fait toujours par vocation et non pour l'argent. »
Un journaliste est un martyr de la vérité, car la
vérité sauve. Il sied de signaler que le chiffre 40 est un moment de
souffrance, le cas des Israéliens dans le désert, de 40 jours de tentation de
Satan à Jésus et d'autres cas que la bible nous rapporte. Que la mort de
William 40 jours après nous interpelle tous en attendent l'avènement du Christ,
donc nous devons nous purifier.
Après la messe les journalistes présents sont partis
prendre un verre de rafraichissement au quartier Général de la Monusco où les
mots de circonstance ont été prononcés, mais aussi des commentaires sur la
profondeur de la prédication que d'aucun ne qualifie d'interpellatrice d'une
façon spirituelle et professionnel.

Quid de l’hommage à William Elachi, une interpellation professionnelle ou spirituelle ?



« 40 jours après sa mort les journalistes de Goma lui rendent hommage à l’église. »
A l'occasion de la célébration de 40 jours après la mort de William Elachi, membre de l'information publique à la Monusco Goma, une messe de requiem a été organisée pour la circonstance. Cette célébration œcuménique s'est déroulée à la paroisse Saint-Esprit de Goma. Une franche des journalistes ainsi que ses collègues ont rehaussé de leurs présences à cette messe de requiem à l'honneur de William qui a été plus rapproché des journalistes locaux qui se retrouvaient plus rapproché  qu’un frère et amis qui rendaient service à tout le monde sans tenir compte de son appartenance. C'est-à-dire une personne au service de tous emplissant ainsi le critère de Nations Unies s’il faut le dire ainsi.
L'homélie en cette circonstance lue dans les écritures saintes «La Bible » qui ont corroboré  le travail que ce pasteur des journalistes ne cessait de prêcher à ses confrères de Goma. Le prêtre n'a pas cessé de rappel à chaque passage la mission du journaliste d'abord en le considérant de prophète, car un prophète meurt toujours d'une façon mystérieuse le cas de notre confrère William en témoigne. " La mort de William n'est pas une fatalité, car de son vivant, il sacrifiait son temps et sa connaissance pour les autres à déclarer le prédicateur du jour ". Thèse confirmé par la majorité des journalistes présents.
 Vue d'ensemble des journalistes dans l'église

Rôle du journaliste
Durant la messe il n'a pas manqué de rappeler le rôle d'un bon journaliste comme si ce dernier était aussi journaliste ;  il a fastigiée la pratique des journalistes qui mettent en avant plan de l'argent, car cette pratique désoriente le journaliste de sa mission de prophète. « Un journaliste est un martyr de la vérité »a-t-il insisté. « Nous devons nous interroger ce que Dieu est en train de nous dire à travers la mort de William ? », s'interroge t-il.
« Pour ce faire le journaliste à la même mission que le prophète, car il informe la population sur la vérité et meurt toujours d'une façon mystérieuse. En rappel le journalisme on le fait toujours par vocation et non pour l'argent. »
Un journaliste est un martyr de la vérité, car la vérité sauve. Il sied de signaler que le chiffre 40 est un moment de souffrance, le cas des Israéliens dans le désert, de 40 jours de tentation de Satan à Jésus et d'autres cas que la bible nous rapporte. Que la mort de William 40 jours après nous interpelle tous en attendent l'avènement du Christ, donc nous devons nous purifier.
De gauche à droite debout le président de l' U.N.P.C Nord Kivu Gabriel Lukeka Bin Miya qui témoigne sur William, Cosmas Mungazi avec le portrait de William, Martha Biongo PIO, Sifa Maguru journaliste Radio Okapi. Assis: Madame Kumbo et Amadou tous PIO Radio Okapi Goma.  
Après la messe les journalistes présents sont partis prendre un verre de rafraichissement au quartier Général de la Monusco où les mots de circonstance ont été prononcés, mais aussi des commentaires sur la profondeur de la prédication que d'aucun ne qualifie d'interpellatrice d'une façon spirituelle et professionnel.
 Notre vidéo en ligne sur YouTub de Alain Wandimoyi