samedi 12 mars 2011

Fini la confusion à l'église CBCE, le Ministre de la justice tranche

Le Révérend Thomas Banyangiriki confirme par l'arrêté Ministériel N° 077/CAB/MIN/J/2011 du 23 fev 2011 comme Représentnat légal de l'ASBL" communauté des églises Baptistes du Congo-Est à Goma au Nord Kivu




et

Une vue face de l'église un e pomme de discorde de longue date.

Devant la presse et une partie de fidèle ayant accepté la réconciliation le Révérend Thomas BanyngirikakIi lit l'arrêté du ministre de la justice

« Désormais le révérend Thomas Banyangirika engage la communauté des Églises Baptistedu Congo-Est comme Représentant légale. »

Depuis 1996 une confusion sans nom est tombé au sein de membre de l'église des communautés des églises baptistes du Congo est en sigle 55ème ECC CEBCE. à partir de cette année un flou a caractérise cette église, vous retiendrez en passant que la guerre de 1997 est venue accentuer la situation. La haine et la division qui s'installa à cette époque a déchiquette cette église en plusieurs clivages à chaque fois il fallait l'intervention de la police pour départager les fidèle qui était en contradiction. Pour remédier à cette situation, en 2010, les fidèles de cette église autour d'un culte de réconciliation ils ont décidé de se réconcilier pour l'unité de l'église les-uns sont rentrés que cette église fasse avancé le développement et la reconstruction de la République Démocratique du Congo. Aujourd'hui les effets viennent de sortir, fini la confusion le ministre de la justice tranche, je vous invite tous de consulter avec attention ces arrêtés. Jamais une église sans pasteur, le représentant légal est connu, désormais le révérend Thomas Banyangirika engage la communauté

Plus question d'être dérangé lorsque l'on photographie en RDC ! La confusion est levée.

Quid d'une vielle loi datant de Cinq ans avant l'accession de la République Démocratique du Congo ne répondant pas aux réalité de la mondialisation! Les élus d'aujourd'hui n'ont ils pas honte? que disent ils à leurs électeurs qui chaque fois sont victime de cette vielle loi?
Un avion cloué sur le tarmaque de l'aéroport de Goma
Depuis plusieurs décennies prendre la photo en République Démocratique du Congo était un mythe ; des touristes, visiteur même des Congolais amoureux de la photographie étaient envouté par la beauté béat de la nature de la République démocratique du Congo étaient victime d’un arnaque sans nom par de sois disant agent de l’ordre sous prétexte qu’il était formellement interdite de filmer ou de photographier. Etant moi-même photojournaliste je me tire les cheveux avec ces agent des l’ordre lorsque mon sujet à le même angle que leurs lieu interdite, je me suis renseigner, mais nulle part j’ai trouvé un texte interdisant la photo dans mon pays. Les jours où j’ai été stupéfait je me suis posé la question de savoir quel était le rôle de député dans mon pays ? Le notre au lieu de légiférer les lois il ont épuisé leurs mandat législatif dans des querelle de positionnement à travers des motion de censure et de défiance sans pour autant légiférer de petit lois comme celle de la photographie où lorsque je suis devant un article d’un arrêté datant de 5 ans avant l’accession de mon pays à l’indépendance, j’ai honte à la place de nos élus.
Je salut en passant Madame la ministre de Transport et communication Laure Marie Kawanda qui a levé cette mesure il y a déjà Trois mois si Non on était la honte lorsqu'on débarquait dans les aéroports des autres nations nous avons toujours des souvenirs de ces derniers hélas non chez nous, car ose faire une photo surtout à l'aéroport de Ndjili c'est pour avoir sur sa tête un bataillon des agents de l'ANR ; de la DGM. Aujourd'hui tout le monde est libre de faire sa photo souvenir à Ndjili, Lwano, Bangoka, Kavumu le mythe est tombé Vive la photographie. Retenons en passant qu'aucune loi n’interdit pas de photographier, au marché, rue, hôtel etc. Hélas les journalistes et touristes subissent encore des interdits pour photographier, malgré la mesure de madame la ministre des transports et voie de communication de la République démocratique du Congo

« Valérie Amos plaide pour une action régionale contre les groupes armés actifs en RDC »

Vue général de la salle avant la conférence de presse après la visite de USG Valérie Amos à Goma le 09 mars 2011 à 20 heures 20'
L'USG Valérie Amos prononcent son discours à la presse de Goma le 09 mars 2011 à 20h 35'
Des millions de personnes ont rarement connu la paix et la sécurité dans les zones des conflits en RD Congo. Affirmation de Valérie Amos, secrétaire générale adjointe des Nations unies chargée des affaires humanitaires et coordonnatrice des secours d'urgence. Elle appelle une solution régionale. À cela, je me pose la question comment aboutir à cette solution que la communauté internationale regarde d'un seul côté ? À mon humble avis le conflit dont la RDC est victime est une importation régionale hélas ont accuse à tors la République de ne pas fournir d'efforts et pourtant si l'on analyse cette question, cette population de la RDC victime d'une barbarie importée à vue impuissante de la communauté internationale est aussi fruit de son hospitalité.
De gauche à droite le pio Ocha à l'est de la RDC madame Imane CHERIF au centre les interprètes l'extreme droite l'USG Valérie Amos repodant aux questions des journaliste de Goma.
Lors d'une conférence de presse que Valérie Amos à accorder à la presse de Goma à 20h30 heures locale bien que les préoccupations de journalistes n'ont pas été épuisé les préoccupations pendant cette conférence, elle a rappelé que beaucoup de Congolais vivent sans protection et à la merci des groupes armés tant national qu'étrangère ici je précise le Rwandais FDLR qui n'ont aucun respect pour les civils. Selon, il faut, selon elle, démanteler de ces groupes armés pour faciliter le retour des personnes déplacées.
L'ambiance dans la salle les journaliste tout oreille à l'exposé de l'USG Valérie Amaos à Goma.
Des personnes vulnérables, sans assistance humanitaire conséquente et qui font régulièrement face à la faim et aux maladies, selon la diplomate onusienne. D'autre part dans les zones hors conflits, les indicateurs restent alarmants, a-t-elle mentionné, insistant sur l'importance de l'aide humanitaire en faveur de toutes les populations concernées. Diplomatiquement et dans un langage de bois on rassure le congolais : « les Nations unies et leurs partenaires continueront à appuyer le gouvernement de la R d Congo pour la stabilisation de la situation et la promotion du développement», assurance de madame Valérie Amos. Je profite de cette occasion pour poser la question à la communauté Internationale, pourquoi le Rwandais qui sème la désolation en RDC refuse de rentrer chez eux ? Pourquoi cette communauté internationale ne s'implique pas directement pour imposer un retour forcé à ces Rwandais, enfin pourquoi la communauté internationale impose toujours la République démocratique du Congo des formules en non de l'autre côté car, La question de FDLR est régionale ? Moi je suis particulièrement désolé de la façon dont les humanitaires traite la presse à l'est de la RDC dans une ville où la sécurité est fragile l'on invite la presse qui au départ n'a pas de moyen de transport à une conférence de presse à 20 heures 30, en limitent les questions pour embarques les journalistes à merci des humeurs déplacées d'un chauffeur dans un bus de OCHA qui devant ses chefs accepte de ramener chacun à sa destination, hélas à quelque mètre il décide de débarquer tous ses passagers puisque, il ne peut pas. Avec toutes les risques, d'être soit menacé ou perdre son matériel, chacun s'est débrouillé Dieu aidant on n'a pas enregistré un cas d'agression ni de perte de matériel. Voilà le malheur des journalistes dont la vulnérabilité est palpable ils s'arrangent pour informer le public.