samedi 14 février 2009

La rumeur et le bruit de botte pénalisent l’économie de Goma.




Je vois plusieurs institutions de micro finance au Nord Kivu en mauvaise posture depuis plus de 8 mois ; Leurs caisses sont de moins en moins alimentée, a cause de la psychose de la guerre, le rafle de fond de la population par l’ONG international Ducth une structure illicite qui avait bouffé la moitie du masse monétaire en circulation dans la ville et les clients insolvable, provoque le manque de liquidité dans ces coopérative. En autre la persistance de la guerre à la porte de Goma et surtout que l’argent n’aime pas le bruit de botte tout les client des coopératives avaient procédé aux retrait ce qui cause préjudice à ces institution de micro finance qui n’ont plus de liquidité pour satisfaire ses clients désireux retirer leurs argent. Aujourd’hui c’est une incompréhension sévère règne entre coopérative et clients, ce qui engendre des rumeurs accusant les institutions de micro finance de pouvoir injecté leurs fond dans les opérations Dutch qui consistait a versé une somme pour recevoir un remboursement de 35% sur le montant versé, hélas qui avait escroqué l’argent de la population de Goma, en dehors de ce rumeurs Il y a aussi la concurrence et la jalousie d’autres coopérative moins connue, qui propage propagande faisant état de fermeture de certaine coopérative par une lecture de texte en matière économique. Dans l’allure où va la chose je vois que la rumeur, la jalousie et cette injustice alimentée par les jaloux vont trouer la bouée de sauvetage d’une ville sinistré par l’éruption et la guerre, qui a bénéficié des avantages qu’offraient ces coopératives en menace de fermeture pourtant en ordre. Pour ce la j’admire le courage ces coopérative que rassure ses clients en restaurent le climat de confiance et d’entente entre ces coopératives d’une part et se clients. Tenez, ces institutions ont procède à la sensibilisation contre l’intoxication en même temps il procède aux et recouvrement a fin de ramener les clients insolvable de s’acquitter de leur devoir et aux coopérative de répondre favorablement aux besoins de ses client en fin de ramener les autres qui garde de l’argent à la maison de renouer la confiance avec leurs coopératives respective car ces dernières ont était bénéfique à la population de Goma pendant tout ce long moment de guerre et surtout après l’éruption du volcan en 2002. Pour la petite histoire le fait de trésoriser vient de renaître, plusieurs plainte sont enregistré à Goma ; un Habitant de l’office un quartier de Goma a perdu plus de 40 000 dollars américains lorsque d’un incendie, une autre personne qui avait retiré son argent pour le garder dans un trou lui aussi a retrouvé plusieurs billets détérioré à cause de l’humidité. Faut-il croire aux rumeurs pour tout perdre? Je vois plusieurs institutions de micro finance au Nord Kivu en mauvaise posture depuis plus de 8 mois ; Leurs caisses sont de moins en moins alimentée, a cause de la psychose de la guerre, le rafle de fond de la population par l’ONG international Ducth une structure illicite qui avait bouffé la moitie du masse monétaire en circulation dans la ville et les clients insolvable, provoque le manque de liquidité dans ces coopérative. En autre la persistance de la guerre à la porte de Goma et surtout que l’argent n’aime pas le bruit de botte tout les client des coopératives avaient procédé aux retrait ce qui cause préjudice à ces institution de micro finance qui n’ont plus de liquidité pour satisfaire ses clients désireux retirer leurs argent. Aujourd’hui c’est une incompréhension sévère règne entre coopérative et clients, ce qui engendre des rumeurs accusant les institutions de micro finance de pouvoir injecté leurs fond dans les opérations Dutch qui consistait a versé une somme pour recevoir un remboursement de 35% sur le montant versé, hélas qui avait escroqué l’argent de la population de Goma, en dehors de ce rumeurs Il y a aussi la concurrence et la jalousie d’autres coopérative moins connue, qui propage propagande faisant état de fermeture de certaine coopérative par une lecture de texte en matière économique. Dans l’allure où va la chose je vois que la rumeur, la jalousie et cette injustice alimentée par les jaloux vont trouer la bouée de sauvetage d’une ville sinistré par l’éruption et la guerre, qui a bénéficié des avantages qu’offraient ces coopératives en menace de fermeture pourtant en ordre. Pour ce la j’admire le courage ces coopérative que rassure ses clients en restaurent le climat de confiance et d’entente entre ces coopératives d’une part et se clients. Tenez, ces institutions ont procède à la sensibilisation contre l’intoxication en même temps il procède aux et recouvrement a fin de ramener les clients insolvable de s’acquitter de leur devoir et aux coopérative de répondre favorablement aux besoins de ses client en fin de ramener les autres qui garde de l’argent à la maison de renouer la confiance avec leurs coopératives respective car ces dernières ont était bénéfique à la population de Goma pendant tout ce long moment de guerre et surtout après l’éruption du volcan en 2002. Pour la petite histoire le fait de trésoriser vient de renaître, plusieurs plainte sont enregistré à Goma ; un Habitant de l’office un quartier de Goma a perdu plus de 40 000 dollars américains lorsque d’un incendie, une autre personne qui avait retiré son argent pour le garder dans un trou lui aussi a retrouvé plusieurs billets détérioré à cause de l’humidité. Faut-il croire aux rumeurs pour tout perdre?