jeudi 30 décembre 2021
mercredi 1 décembre 2021
mardi 23 novembre 2021
ELECTION COMITE COMUNALmp4
Apres
plusieurs mois d’une léthargie et absence des animateurs dans diffèrent comité
de la Croix-Rouge à Gama, le Comité Provincial de la Croix-Rouge de la RDC au
Nord Kivi vient de procéder aux élections des comités de la commune de
Karisimbi et Nyiragongo.
mardi 2 novembre 2021
La Croix-Rouge RDC face aux besoins des vulnérable d'une catastrophe ou...
Ce jour-là
notre reporter accompagne les équipes des volontaires de la Croix-Rouge de la
RDC au Nord-Kivu avec UNICEF REPONSE RAPIDE UNIRR en sigle. Ces équipes venues de GOMA, BUTEMBO
et BENI se sont joint à d'autres de
KIRUMBA, KIKOVU, KAMANDI et KANYANDAHE via BUHOYO dans le but de cibler,
sensibiliser et distribuer de kit aux déplacés.
lundi 1 novembre 2021
Quand des secouristes de la Croix Rouge de la RDC partage la Souffrance...
Ils sont
plusieurs ménages ayant fui leurs villages à cause de l'insécurité et des
récents affrontements contre Les Mai-Mai lors
des opérations conjointe FARDC et les ECOGARDES de l’ICCN dans le
village de NDWALI. Certain parmi ces déplace traversent un calvaire inédit.
Comme le témoigne cette femme souffrante d'une paralysie de membre inférieur. Suivez ce reportage
La Croix-Rouge de la RDC dans le projet UNIRR apportent un ouf de soulagement à 2191 déplacés de NDWALI
Dans plusieurs quartiers de la localité de KIKUVO, KAMANDI GITE, qui ont accueilli des déplacés venus de NDWALI après les affrontements liés aux opérations conjointe des FARDC et les Eco-gardes de l’ICCN contre les groupes armé. Devant cette réalité, les déplacés ayant quitté la zone combat pour se mettre à l'abri, ils sont dépourvus de tout et vivent dans de conditions très précaires.
Dans sa mission d'apporter un soutien aux vulnérable, le comité provincial du Nord-Kivu de la Croix-Rouge avec l'appui de l'UNICEF Réponse Rapide UNIRR en sigle vient de soulager tant soit peu aux besoins primaires de cette population en détresse venue de NDWALI éparpillé dans plusieurs villages à KIKUVO, KAMANDI ET KANYANDAHE. C’est sont des localités situées à une vingtaine de Kilomètres de la commune rurale de KIRUMBA au sud de LUBERO dans la province du Nord-Kivu.
mardi 5 octobre 2021
Sécurité : Goma est pollué des véhicules aux vitres teintées et non immatriculé un danger pour la sécurité dans la ville.
En dépit de l'effort mené par les autorités pour pacifier la province du Nord Kivu à Goma il s'observe dans la circulation plusieurs véhicules non identifier aux vitres teintées seraient l'une de causes qui pérennise l'insécurité en ville de Goma et ses environs. On note seulement à Goma il ne se passe pas une nuit sans que l'on documente un cas de cambriolage, de kidnapping des assassinats des échangeurs des monnaies. Des bandits utilisent des véhicules à vitre teinté et non identifier après leurs forfait ils disparaissent dans la nature. Quel qu'en soit l'alerte de la population, les services de sécurité ont de la peine pour dénicher ces criminels qui tuent la communauté.
Comme ces malfrats restent toujours inconnus la population accuse les services de sécurités d'incompétence. Comment juguler cette situation qui prend de l'ampleur dans la province du Nord Kivu face à cette pollution des véhicules aux vitres teintées qui seraient l'une des causes de l'insécurité ? Nombreux accuse à tors le service de sécurités l'incivisme de citoyens laissent un couloir au bandit qui martyrise les autres. « Nous sommes tués et kidnapper on alerte les services de sécurités hélas aucun succès nous trouvons qu'ils sont complices à nos bourreaux », déceler un habitant de Goma. Sur cette question la responsabilité est partagée un habitant de Katindo souligne : « Moi je demande à l'autorité urbaine militaire de prendre de mesure idoine quant à ce. Je me rappelle bien à l'époque lorsque Naason KUBUYA KUNDOS gérait cette ville Goma, il avait fait accepter les motards de porter les casques de sécurités et le gilet numéroté, en même temps traces tout le véhicule aux vitres teintées. Moi je demande au maire de la ville de mettre de l'ordre dans la ville tous ces véhicules sans plaque numéro logique aux vitres teintées doivent être hors d'état de nuire c'est ça ma contribution »
En ce moment crucial de l'état de siège décrété au Nord Kivu et en
ITURI, le service de sécurité a un défi à déclarer une cinquantaine
rencontrée à KATINDO, l’un des quartiers de Goma. Étant donné que les FARDC
font face à une guerre asymétrique pour sortir de cette ornière il est
impérieux à tout le citoyen de faire sien cet état de siège pour que l'aspect
sécuritaire soit balisé bien nulle part au monde il y a zéro insécurité.
La restauration de l'autorité de l'état ainsi que la sécurité est
l'apanage de tout le congolais patriote. L'apport de chaque citoyen doit aider
les Forces Armées de la République Démocratique du Congo de mettre fin aux
velléités des groupes armes de toute nature que soit-il.
mardi 28 septembre 2021
Butembo : Quand le député provincial Saïdi Balikwisha accompagne les déplacés à retourner à ISALE-VULAMBO.
Après les attaques que les Combattants terroristes ADF du 24 au 26 septembre dernier dans la chefferie de Bashu au sud du territoire de Beni, précisément en ISALE et Muthendero. Cette attaque avait créé une débandade et déplacement de la population locale vers Butembo. A ces jours, certains déplacés ont commencé à regagner leur terroir grâce à l'accompagnement du député provincial Saïdi Balikwisha. Toutefois, d'autres déplacés ayant fui les atrocités de ces terroristes hébergé dans des familles d'accueil attendant encore le retour total de la paix chez eux.
Interrogé
par LACRUCHE HEBDO monsieur Siméon WAKERETA l'un
des représentants du bureau de comité des déplacés basés à Butembo que
nous avons rencontré sur l'avenue Fatuma dans
le quartier Lumumba en commune de Kimemi confirme
que leur bureau avait enregistré au moins 306 ménages des déplacés en
provenance de la chefferie Bashu qui avait fui les
atrocités commises par les terroristes des ADF. Cependant,
pour éviter de laisser la chefferie de BASHU vide
à la merci de la barbarie des terroristes, le député provincial élu du
territoire de Beni, l'honorable Saidi Balikwisha a
commencé à sensibiliser et à accompagner progressivement les déplacés des Bashu a
regagné leurs villages. Tenez, sur ce 306 déplacés enregistrés déjà 138 ménages
ont déjà rejoint leurs villages, a confirmés à notre micro monsieur Simeon WAKERETA.
Rappelons
que, plusieurs centaines d'autres déplacés qui avaient quitté BASHU, dont
certain parmi eux préfèrent rester dans les familles d'accueils de la ville
commerciale de BUTEMBO. En attendant que
la paix se rétablisse totalement chez eux
John
ETUMBA
dimanche 26 septembre 2021
BUTEMBO : Le Gouverneur militaire Constant NDIMA appelle la population à soutenir les FARDC dans la traque contre ADF
C’est au cours d'un entretien avec le journaliste à BUTEMBO que le Gouverneur militaire a exhorté la population locale de soutenir les Forces Armées de la République Démocratique du Congo. Et aussi l'effort que fourni le Gouvernement provincial dans la mesure exception qui consiste à éradiquer tous les groupes armés y compris les ADF NALU.
Le Gouverneur militaire, le Général Constant NDIMA appelle la population de BUTEMBO locale à soutenir l'effort des forces armées de la République Démocratique du Congo FARDC dans les traques les forces négatives, y compris les rebelles terroristes des ADF qui tuent chaque les paisibles populations dans la province de l'Ituri et celle du Nord-Kivu. C'est au cours d'un entretien avec les journalistes que l'autorité provinciale a transmis ce message à ses administrés.
Tenez
pendant son entretien avec les professionnels des médias de Butembo, le
Gouverneur militaire du Nord-Kivu, qui a appris avec consternation la nouvelle
de l'incursion des terroristes ADF dans
la chefferie des BASHU que l'on considère
comme le véritable point de repère des peuples NANDE à
–il -indique.
Pendant ce temps le gouverneur a présenté les condoléances à toutes les victimes de cette incursion. Après s'être entretenu avec la presse, le Gouverneur s'est dirigé dans la chefferie des BASHU pour s'imprégner lui-même de la situation sécuritaire qui prévaut dans cette zone.
Précisons que, le Gouverneur militaire du Nord-Kivu vient de lancer un appel vibrant à toute la population de BUTEMBO, BENI et ses environs à soutenir les FARDC pour accomplir la mission que le Chef de l'État leur à confier. Ce à ce titre qu'il a réitéré à ses administrés de soutenir sans faille la bravoure des FARDC qui sont en train de traquer au sacrifice suprême les forces négatives qui écument la région.
Reçu par le Chef de la chefferie de BASHU son
hôte n'a pas manqué de manifester son enthousiasme en égard du Gouverneur qui
est venu lui-même voir les désastres qui ont été causés par le terrorisme de l'ADF NALU lors de leur incursion dans la chefferie de BASHU. Profitant
de sa présence, le député provincial SAIDI BALIKWISHA a remis un mouton comme symbole de travail de la population
de la région qui vit essentiellement de l'élevage et l'agriculture. Ce geste un
signal pour cet élu du peuple de demander au Général Gouverneur de faire tout
pour que la paix soit restaurée dans le GRABEN.
John ETUMBA
jeudi 16 septembre 2021
mercredi 15 septembre 2021
mardi 24 août 2021
Go-pass : La taxe de toutes les discordes dans les aéroports de la RDC
Quand Olive Lembe Kabila promet, elle réalise
« 50
machines à coudre, des couveuses et plus de 2000 houes promesse tenues de Marie
Olive Lembe Kabila »
Au total
50 machines à coudre promis aux épouses des militaires et policiers, des couveuses
(Incubateur) pour des structures des santés et plusieurs houes pour booster
l'activité agricole dans la ville de Kamituga. Ceci est une promesse faite par l'ex- première dame de la
République Démocratique du Congo Marie Olive Lembe Kabila lors de son séjour en 2020 à Kamituga. Cette promesse vient de se concrétiser et apporte la
joie aux épouses de policiers et militaire déployé dans cette ville aurifère.
Réunit
dans la grande salle au centre de la ville de Kamituga où ces
femmes ont réceptionné ce lot des machines à coudre envoyé par Marie
Olive LEMBE KABILA à travers son ONG Initiative Plus Olive Lembe Kabila (IPOLK).
Satisfaite de cette promesse qui vient de se
réaliser, désormais toute la population de cette partie du pays bénéficieront
de cet acte de charité que vient de poser Olive Lembe Kabila au profit des habitants de la ville de Kamituga.
Dans
leur gibecière ils n'ont pas oublié les structures de santé l'ONG Initiative
plus dote aux hôpitaux de cette ville des couveuses ou incubateurs. Pour la
petite histoire, on signale que la ville de Kamituga n'a
jamais eu ce matériel depuis plusieurs années ce qui était la cause de
morbidité aux nombreux enfants lors des accouchements prématuré : « Nos remerciements comme personnels
soignant, c'est depuis 14 ans que je travaille ici à Kamituga, j'ai d'abord commencé à l'hôpital
général de Kamituga, je n'avais pas vu une couveuse, je suis partie à l'hôpital
de Mwenga je
n'avais pas vu une couveuse, je suis allée à l'hôpital de l'église catholique
je n'ai pas vu une couveuse », Déclaration du Docteur SIFA
Le
séjour de Marie Olive Lembe du mois d'octobre 2020 a été une aubaine pour les habitants
de cette nouvelle ville où l'activité principale est l'exploitation d'or qui
font à ce que les denrées alimentaires provienne d'autres villes et territoire
alors que l'inverse est vrai, car c'est une ville à vocation agricole. C'est à
ce titre qu'OLK s'est
évertué de donner aussi plus de 2000 houe afin de booster l'agriculture
Touché par la demande de ses congénères, Marie Olive Lembe avait déclaré son statut de femme d'un militaire du coup en ricochet, elle consciente de la vie des épouses de militaire et policier c'est pour la raison qu'elle a essayée d'apporter cette activité de générateur de revenue pour que ces femmes épaulent leurs époux. Pour pérenniser cette action, ces femmes pourront bénéficier d'un coaching d'IPOLK c'est seulement avec cette approche communautaire que ces dernières pourront aussi vivre en harmonie et cela pour une cohésion socio-économique : « Maman Olive avait déclaré dans cette salle qu'elle est aussi l'épouse d'un militaire ; elle connait donc les difficultés des épouses de militaires et celle des policiers ». A rappeler Docteur SIFA.
Il
sied de noter que cette promesse était au cœur de Marie Olive LEMBE Kabila et attendu à bras ouvert par les épouses de militaire et
policier. Pour manifester l'intérêt de machine reçue, elles ont prouvé leurs
engagements à travers le montage de ces outils de couture. Dans l'unanimité ces
femmes ainsi que toutes les bénéficiaires ont manifesté la gratitude à l'égard
de Marie Olive LEMBE KABILA pour sa promesse tenues.
samedi 21 août 2021
Kamituga : Quand Olive Lembe Kabila promet, elle réalise : « 50 machines à coudre, des couveuses et plus de 2000 houes promesse tenues de Marie Olive Lembe Kabila »
Au total 50 machines à coudre promis aux épouses des militaires et policiers, des couveuses (Incubateur) pour des structures des santés et plusieurs houes pour booster l'activité agricole dans la ville de Kamituga. Ceci est une promesse faite par l'ex- première dame de la République Démocratique du Congo Marie Olive Lembe Kabila lors de son séjour en 2020 à Kamituga. Cette promesse vient de se concrétiser et apporte la joie aux épouses de policiers et militaire déployé dans cette ville aurifère.
Réunit dans la grande salle au centre de la ville de Kamituga où ces femmes ont réceptionné ce lot des machines à coudre envoyé par Marie Olive LEMBE KABILA à travers son ONG Initiative Plus Olive Lembe Kabila (IPOLK). Satisfaite de cette promesse qui vient de se réaliser, désormais toute la population de cette partie du pays bénéficieront de cet acte de charité que vient de poser Olive Lembe Kabila au profit des habitants de la ville de Kamituga.
Dans leur gibecière ils n'ont pas oublié les structures de santé l'ONG Initiative plus dote aux hôpitaux de cette ville des couveuses ou incubateurs. Pour la petite histoire, on signale que la ville de Kamituga n'a jamais eu ce matériel depuis plusieurs années ce qui était la cause de morbidité aux nombreux enfants lors des accouchements prématuré : « Nos remerciements comme personnels soignant, c'est depuis 14 ans que je travaille ici à Kamituga, j'ai d'abord commencé à l'hôpital général de Kamituga, je n'avais pas vu une couveuse, je suis partie à l'hôpital de Mwenga je n'avais pas vu une couveuse, je suis allée à l'hôpital de l'église catholique je n'ai pas vu une couveuse »
Le
séjour de Marie Olive Lembe du mois d'octobre 2020 a été une aubaine pour les habitants
de cette nouvelle ville où l'activité principale est l'exploitation d'or qui
font à ce que les denrées alimentaires provienne d'autres villes et territoire
alors que l'inverse est vrai, car c'est une ville à vocation agricole. C'est à
ce titre qu'OLK s'est évertué de donner aussi plus de 2000 houe afin
de booster l'agriculture
Touché
par la demande de ses congénères, Marie Olive Lembe avait
déclaré son statut de femme d'un militaire du coup en ricochet, elle consciente
de la vie des épouses de militaire et policier c'est pour la raison qu'elle a
essayée d'apporter cette activité de générateur de revenue pour que ces femmes
épaulent leurs époux. Pour pérenniser cette action, ces femmes pourront
bénéficier d'un coaching d'IPOLK c'est
seulement avec cette approche communautaire que ces dernières pourront aussi
vivre en harmonie et cela pour une cohésion socio-économique : « Maman Olive avait déclaré dans cette salle
qu'elle est aussi l'épouse d'un militaire ; elle connait donc les difficultés
des épouses de militaires et celle des policiers ». Il sied de noter
que cette promesse était au cœur de Marie Olive LEMBE Kabila et attendu à bras ouvert par les épouses de militaire et
policier. Pour manifester l'intérêt de machine reçue, elles ont prouvé leurs
engagements à travers le montage de ces outils de couture. Dans l'unanimité ces
femmes ainsi que toutes les bénéficiaires ont manifesté la gratitude à l'égard
de Marie Olive LEMBE KABILA pour sa promesse tenues.
mardi 10 août 2021
Un SOS pour le Calvaire qu'endurent certains sinistrés de l'éruption de Nyiragongo
Le volcan Nyiragongo est entré en éruption le 22 mai 2021 laissant plusieurs impacts négatifs sur la vie socio-économique dans plusieurs ménages à Goma et Nyiragongo. Si les humanitaires sont venus au secours à certains nécessiteux, hélas d'autres croupissent toujours dans une misère indescriptible
Il
s'agit des sinistrés qui campent dans la concession de l'école primaire Mboga, situé à environ cinq kilomètres de Goma. Leurs nombre évalué à 500 personnes
qui logent dans des conditions misérables au merci des intempéries dans des
salles de classe. A l'entrée de cette concession, on sent la misère et la
douleur atteint toute personne vouée de compassion.
Depuis leur retour de différents lieux au début du mois de juin où ils étaient déplacés, ils n'ont reçu aucune assistance : « Nous n'avons pas la nourriture, pas d'eau nous souffrons les poux nous attaquent. Avec tout ce lot des problèmes personne n'est passé pour nous soulager. », Regrette une femme d'environ cinquante ans.
Couchés à même le
sol et passant la nuit ventre creux, ces victimes de la calamité naturelle
vivent un monde indescriptible: « Je ne
sais pas comment m'exprimer. Regarde la façon dont on prépare la nourriture,
les haricots, patate douce proviennent de la mendicité. »
Vivre
à la débrouille et la mendicité
Ne sachant pas comme trouve quoi mettre sous la dent, les femmes sont obligées de faire la mendicité dans les contrées proches ou éloignées. Certaines vont même à plus de 40 kilomètres afin de trouver la nourriture : « Pour manger nous devons quémander. On avait peur pour, des femmes qui sont allées mendier en territoire voisin à Rutshuru. C'est depuis deux jours qu'elles sont revenues, avant hier d'autres femmes qui sont allées de l'autre côté ne sachant pas distingué la frontière elles ont traversés la limite entre le Rwanda et la République Démocratique du Congo pour se retrouver au Rwanda. Dieu aidant, elles n'ont pas été arrêtées elles sont rentrées. Trouver la nourriture ici c'est difficile » Témoigne Byamungu Byegulu l'un de sinistré :
« Pour dormir, c’est sur le pavement le chanceux sont ceux qui
trouvent un peu de feuille séché des haricots ils les utilisent comme matelas
et dorment dessus en attendant l'autre jour. » Regrette Kahambu Yvonne
Un
soulagement éphémère
Au
retour de la maman, c'est la fête des enfants et du papa qui, lui reste comme
gardien des enfants. Avec cela, le ménage pourra manger pendant deux ou trois
jours et après le calvaire recommence.
Selon
nos sources, deux personnes sont déjà
mortes de faim et une autre a été tuée pendant qu'ils quémandaient. Pire encore
certaines femmes se font violer lorsqu'elles se rendent dans des coins reculés
pour mendier. Comme cela ne suffit pas, la prostitution a élu domicile dans ce
site et cela pour seulement trouver quelques chose à mettre sous la dent et se fait aux frais dérisoire.
Ces
sinistrés ne veulent qu'une chose : leur assistance par le gouvernement ou
alors par les humanitaires ou personnes animé de bonne volontés qui passent par ce site hélas et aucune aide qui suit. Ainsi, ils se posent
une question de savoir pourquoi les autres compatriotes bénéficient des aides
régulièrement sauf eux : « Nous demandons
aux autorités de nous aider, nous souffrons beaucoup. Personne n'est passé même
pour nous apporter de l'assistance comme ils les font pour d'autres. Pitié,
pitié... Nous sommes également des êtres humains comme les autres »,
suppliant une femme qui allaitait un bébé.
La Rédaction
mardi 3 août 2021
mercredi 28 juillet 2021
La Croix-Rouge du Congo sensibilise le sinistrés du volcan sur l'engagement communautaire par rapport aux risques...
Des centaines de Sinistrés de l'éruption du volcan Nyiragongo du 22 mai 2021 bénéficient un appui de la Croix-Rouge RDC comité provincial du Nord-Kivu. Plusieurs volontaire passent de porte à porte pour sensibiliser les sinistrés sur le comportement à adopter durent leur séjour dans les camps dans plusieurs villages du territoire de Nyiragongo ...
jeudi 15 juillet 2021
mercredi 30 juin 2021
vendredi 7 mai 2021
lundi 5 avril 2021
jeudi 4 février 2021
MWENGA : La hausse vertigineuse des prix des produits manufacturés étouffe le panier de la ménagère à Mwenga
(Cruche Hebdo-COJODO) : des prix sont au galop sur le marché en territoire de Mwenga, Ils sont passés du simple au triple. Cette hausse est une conséquence à un état de délabrement de la route Bukavu-Mwenga. Les habitants se disent être abandonnés par l'état et récuse l'office des routes pour incompétence. De son côté l'office de route accuse un manque des matériels et équipements adéquats pour réhabiliter cette route reliant la province du Sud Kivu à la province du Maniema.
Ces derniers jours, un sac de sucre se vend à 72.000 Francs congolais soit 36 $, alors qu'à Kamituga il revient à 200 000francs congolais soit 100$. Dans la même ville, un sac de maïs de 25kg revient aujourd'hui à 45 $ pendant qu'il se vend à 11$ à Bukavu. Une bouteille de bière d'une valeur de 3000franc congolais à Bukavu, y varie de 6000 à 10 000Fc Francs congolais à Kamituga.
Cette situation fragilise l'économie des habitants du
territoire de Mwenga : « La vie devient de plus en plus difficile ici
chez nous. Les prix ont pris de l'encenseur. Il y a peu, un sac de ciment qui
coûtait 40 000 Francs congolais soit 20 $, revient aujourd'hui à 150 000franc
congolais soit 75 $», regrette Wabiwa Marceline. Pour tout produit, les
prix ont galopé et cela à d'impacts même sur le produit agricole par exemple
à Kamituga où
un tas de légume coûte à maintenant 2 000franc congolais soit 1$. « Imagines
pour nourrir ma petite famille de sept personnes, il me faut acheter au minimum
6 à sept tas de légumes, je me demande où trouverais-je 14 000 Francs congolais
chaque jour pour acheter 7 petits tas
d’amarantes ? », s'inquiète une ménagère de Kamituga.
Cette route porte-t-elle malheur ?
C'est depuis une année que le tronçon Bukavu Mwenga Kamituga s'est dégradé. Cette route d'intérêt National la RN2 construite en terre battue, est aujourd'hui caractérisée par de grands bourbiers dans plusieurs localités du territoire de Mwenga, cas de Kasika-Kalimoto. Quitter Bukavu pour atteindre Mwenga, c'est un calvaire. Tous les véhicules s'arrêtent à Bwahungu dans le territoire de WALUNGU. Ce délabrement avancé entraine des conséquences inimaginables sur la vie socio-économique de la population. Au départ le coût du voyage lui-même n'est pas à la bourse de tous. « Pour atteindre Kamituga, il faut avoir une poche bien garnie, faire un aller et retour il faut avoir au minimum entre 190 000 Francs congolais ou 200 000 Francs congolais (soit de 90 à 100$) pour seulement une centaine de kilomètres ! », s'exclame Michel Bulambo un voyageur. Voyager de Bukavu à Mwenga est un luxe appauvrissant. « Comparativement au nord Kivu où les voyageurs parcours plus de trois cents kilomètres avec cette somme, on voit que ce que nous payons est égal au coût d'un voyage pour deux personnes qui font l'aller-retour dans un bus ou une voiture de Goma à Beni-Goma », ajoute un autre.
Pendant cette saison pluvieuse des véhicules
s'embourbent, certains passent deux à trois semaines avant d'atteindre la
destination, excepté les motos qui pataugent dans ces
bourbiers qui arrivent difficilement le même jour. « On se demande pourquoi
l'état ne veut pas réparer cette route ? Nous sommes des patrons de l'état nous
payons les taxes, mais la population est en train de souffrir et les routes ne
sont toujours pas réparé », cris un camionneur.
Des travaux trompent l'œil annoncés !
Depuis octobre 2020 le gouvernement provincial du
Sud Kivu a
lancé les travaux de réhabilitation de ce tronçon routier dont l'exécution
était confiée à l'Office de route, mais depuis lors rien n'a été fait, sauf une
pancarte d'annonce de travaux et le déploiement des engins. Pendant ce temps,
la population reste perplexe : « c'est en octobre que le gouvernement provincial
avait placé cette pancarte ici pour annoncer le lancement de la réhabilitation
de cette route, mais sur le terrain, aucun geste n'est posé. On se demande si
c'est le début ou c'est la fin ?», s'interroge un notable à Kasika-Kalimoto.
Cette léthargie inquiète et révolte les habitants
de Mwenga. Du
coup, ils récusent à leur tour, l'expertise de l'Office de route. « Je préfère
qu'on retire ce contrat de réhabilitation de cette route à l'Office des Routes.
Ils ne font vraiment rien pour nous. Je préfère qu'on mette à leurs places des
Chinois, eux au-moins peuvent vite exécuter la réhabilitation de cette route »,
a indiqué un chef de village.
Cette route RN2 qui relie Bukavu à Mwenga sur moins de deux cents kilomètre est un casse-tête pour les voyageurs. Des camions mettent plus de deux semaines de calvaire avant d'atteindre leurs destinations.
En dépit des souffrances qu'endurent les usagers de la
route nationale 2 (RN2), l'Office de route se dédouane. Anicet Kakese, directeur
de l'Office des routes au sud-Kivu confie à Radio Okapi que son
entreprise ne dispose pas d'équipements conséquents, mais il accuse subtilement
les intempéries : « l'office des routes a un problème de matériels. Nos
équipements ont fait dix ans, 15 ans, ça crée beaucoup de pannes. Mais tout
ce qu'on attend, c'est la petite saison sèche qui est toujours perturbée par
les pluies. Espérons que ça va s'améliorer durant ce mois de février. »
Sur cette route à terre battue reliant Bukavu-Mwenga
jusqu'à Kasongo dans
le Maniema, il
y a une absence criante des ouvriers pour les travaux manuels. Pour pallier ce
problème, l'office des routes plaide pour la reprise du programme de
cantonniers pour l'entretien des routes au sud Kivu.
Alain WANDIMOYI