mardi 29 décembre 2020
jeudi 26 novembre 2020
mercredi 25 novembre 2020
jeudi 29 octobre 2020
lundi 26 octobre 2020
mercredi 21 octobre 2020
mardi 6 octobre 2020
Goma : Initiative plus d'Olive Lembe Kabila au chevet des enfants nés de la malformation congénitale
Pendant une semaine, une campagne médicale en faveur les enfants nés des malformations congénitales. Cette campagne est financée par l'association sans but lucratif de l'Initiative PLUS, de l'ex première de la R.D.C, Marie Olive LEMBE KABILA. Cet acte charitable est salué par les bénéficiaires, car nombreux avaient été stigmatisés et rejeté dans la société pour avoir engendré les enfants ou naître avec une malformation congénitale.
La parole a précédé l'acte, dès l'annonce fait par le Coordonnateur National de l'Association Sans But Lucratif INITIATIVE PLUS qui a accompagné les médecins pour rendre une visite de courtoisie au Gouverneur de la Province du Nord Kivu. Monsieur le maire honoraire de la ville de Goma Honorable Naason KUBUYA NDOOLE qui a annoncé cette nouvelle auprès du Gouverneur Carly NZANZU KASIVITA.
D'après nos sources, une centaine
d'enfants nés avec des malformations congénitales. C'est l'hôpital provincial
du Nord Kivu qui
abrite cette campagne.
Après cette visite de courtoisie, on retient que dix médecins spécialistes s'occupent des soins aux enfants sont déjà à pied d'œuvre. Parmi les pathologies concernées ont note : l'hydrocéphalie (grosse tête), la masse dorsale, la fente labio-palatine, encéphale et autre anomalie. Toutes ces malformations seront traitées au frais de l'initiative plus une association que dirige l'ex première dame Marie Olive Lembe Kabila. Depuis le 05 – octobre 2020, des médecins spécialistes venus de Kinshasa et Lubumbashi ont procédé à l'enregistrement des patients qui avaient perdu le sourire depuis la naissance.
Signalons qu'après
l'enregistrement, il se poursuivra les interventions chirurgicales jusqu'au 12
octobre 2020. Des bénéficiaires satisfaits et souhaite longue vue à Madame
Olive LEMBE KABILA qui vient de redonner le sourire à leur famille, car
beaucoup d'entre eux étaient socialement rejetés et stigmatisé. D'autre ont vu
leur mariage rompu, car elle avait engendré des enfants avec de malformation
congénitaux
La rédaction
mardi 22 septembre 2020
PNV: La naissance des jumeaux d'une famille des Gorilles dans le Parc des Virunga
(2020, 22 sept) Une équipe d'Éco-gardes en mission de suivi et monitoring a découvert une naissance des jumeaux au sein de la famille Nyakamwe dans la zone de Bukima, secteur Mikeno.
«Lundi 21 septembre 2020, vers 11h30, nous avons effectué une descente sur terrain accompagné par mon collègue et deux Hugo, après 1 heure et demi de marche, nous avons rencontré l'équipe de localisation qui nous attendait dans la forêt, de là avons suivi ensemble la famille pour identifier la femelle qui aurait donné naissance. Juste quelques minutes, la femelle a été localisée, Oufff c’est Gato qui a donné naissance, des jumelles», rapporte l’Eco-garde Katutu Jacques, chargé du monitoring dans le secteur sud du Parc National des Virunga.
Gato est parmi les femelles les plus vieilles du secteur Mikeno quand bien même ses parents et sa date de naissance ne sont pas bien connus. Elle doit être parmi les gorilles de la famille Rugendo qui ont été habitués à la présence humaine en 1994 à Jomba. Elle eut son premier bébé en Janvier 1995. Gato est mère de 8 gorilles, Mukunda 1995, Mahindure 2002, Kanyaruhunga 2005, Kanyangara 2009, Balingene 2013, Mulegalega 2016 et les jumelles 2020, tous en vie.
Un cas de naissance des jumeaux, s'est produit au PNVi dans la famille Bageni en 2016. Cette naissance de Gato porte le nombre de gorilles de la famille Nyakamwe à 16 individus, et la Douzième enregistrée depuis janvier 2020 dans différentes familles dans le secteur Mikeno.
Olivier MUKISYA, Presse et communication locale PNVi
samedi 19 septembre 2020
Quel est le rôle de la prison en République Démocratique du Congo ?
La prison étant l'endroit clos où sont enfermées des personnes condamnées à une peine de privation de liberté, ou des prévenues en attente du jugement. Le rôle de la prison est aussi le lieu de rééducation où des pensionnaires y sortent avec un plus valu. Contreraient en RDC, avec les conditions de détentions les prisonniers en sortent déformer avec plusieurs maux suite aux violations répétés de la loi et de mauvaises conditions d'hébergement.
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A la différence d'une maison de tentation, la Prison est une maison pour recevoir de condamner afin de purger leurs peines ce qui est différent de maison d'arrêt. En RDC c'est tout à fait le contraire, toutes les prisons sont construites à l'époque coloniale, aujourd'hui leurs capacités d'accueil deviennent tous inférieurs à la demande. Toutes les prisons en RDC sont qualifiées des mouroirs. Avec ce qualificatif péjoratif qui colle les prisons de la RDC c'est justifié par de nombreuses violations de la loi régissant les prisons en RDC.
Selon l'ordonnance loi N° 0347 du 17 septembre 1965, institue la prison comme de lieu sont destinés à recevoir des individus qui sont condamnés par un jugement. En d'autres termes elles servent de lieu de rééducation. On n'y va pas seulement pour purger sa peine et être privé de son droit d'aller et revenir, mais aussi pour y apprendre quelques métiers. Cette loi prévoit également des installations des ateliers de formation des métiers pour qu'à la fin de sa peine, le prisonnier sort soit maçon ou menuisier et même avec un pécule payé par l'état lors de ces prestations de service lucratif pendant son emprisonnement se lance dans un métier de réinsertion sociale.
Pour les autorités congolais qui
déplore les conditions de vie dans les prisons, mais reconnait quelque faille
notamment : « Nous n'avons pas assez de moyen, nous sommes en train de
travailler avec nos partenaires pour pouvoir remettre de bonnes conditions dans
les prisons. Très rassurant et donne de promesse : « Dès-que nous mettons ces
projets en ordre et nous terminons à identifier les sites, je pense qu'on ne
parlera plus de prison mouroir, le prisonnier lui-même il va commencer à se
prendre en charge il aura de petit travaux qu'il va commencer à faire »
Retenons qu'à la différence d'un cachot, la prison est une maison destinée à
recevoir d'individu détenteur d'un jugement non coulé à la force de choses
jugées ou d'une décision non devenu définitive ainsi que de détenu préventif.
La prison peut aussi servir de lieu de détention provisoire en attendant d'être
conduit à l'autorité judiciaire compétente
Quid de maison d'arrêt en RDC ?
Le quasi majorité des prisons en RDC était construit depuis l'époque coloniale, aujourd'hui exergue à cause de la démographie en croissant dans plusieurs villes de la République Démocratique du Congo. Par exemple la prison centrale de Munzenze à Goma construit depuis les années 1950 pour une capacité de 150 prisonniers en compte à ces jours plus de deux- mille personnes. Des prisonniers s'entassent comme de sardine dans une boite et la grande majorité dort à même le sol et à ciel ouvert.
Ironie du sort nombreux d'entre
eux y croupissent depuis des années durant sans jugement et d'autre pour de
fait béni : « c'est marrant fils est jeté en prison pour la simple raison
d'être soupçonné faire le doux yeux à une fille d'un officier voilà plus de six
mois, nous n'avons jamais rencontré un juge il est là et sa vie est bâclé parce
que la raison du plus fort et toujours la meilleure », raconte une femme venue
apporte la nourriture à son fils la prison Munzenze de Goma. Cette situation est pareille pour plusieurs pensionnaires
dans presque toutes les prisons de la RDC.
à chaque période des ministres de
justice qui sont passés successivement à ce poste, tous ont toujours promis
l'amélioration du système judiciaire, mais la situation au lieu de changer va
de mal en pire. : « Nous sommes en contact avec nos partenaires, des sites sont
identifiés et d'ici là vous allez voir les travaux de construction des nouvelles
prisons vont devoir commencé et lorsque les prisonniers vont s'y retrouver il
n'y sera pas dans une sorte de détentions comme tel »
Quand des magistrats bafouent la loi
Partant des violations en répétions de la loi sur les établissements pénitentiaires toutes les prisons de la R DC sont devenus surpeuplé, plusieurs abus de certains magistrats caractérise l'affaissement de la loi pénitencier au pays de Lumumba : « Je dénonce un peu de légèreté qui caractérisait certain magistrat à l'époque qui arrêtent de personnes pour de fait Bénin, vous voyez quelqu'un en prison pour y rester plus longtemps à cause de ce comportement de certain magistrat que je considère de brebis galeuses. Vous allez voir de sanction qui vont bientôt tomber », promet le vice-ministre de la justice et de garde sceaux.
S'il faut revenir aux
fondamentaux des prisons en appliquant la loi qui établit effectivement les
régimes pénitencier en République Démocratique du Congo. Des prisons ne seront
plus de mouroirs, mais plutôt de maisons de rééducation si et seulement s'il y
a la volonté politique en République Démocratique du Congo.
Alain
WANDIMOYI
mercredi 9 septembre 2020
Que des centres pénitenciers mouroirs en République Démocratique du Congo ?
La quasi-totalité des prisons de la République Démocratique du Congo, sont surpeuplés, sous-alimenté et manque de médicament. Pendant que le gouvernement envoie l'argent pour couvrir ces besons –là, on observe de série de décès dans les établissements pénitentiaires. La société civile et les organisations de droit de l'homme lance un cri d'alarme et demandent des explications.
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Une vue aérienne de la prison centrale de Goma (MUNZENZE)
Plusieurs établissements pénitentiaires en RDC sont vielles et surpeuplés, cas de la prison centrale de Goma construit depuis l'époque coloniale avec une capacité d'accueil de 150 pensionnaires. à ce jour ce nombre est multiplié fois quinze ! En dépit de la promiscuité, ses occupants vivent dans de conditions extrêmement difficiles.
L'effectif de détenus de la prison centrale de Goma en 2015 photo d'archiveDans la prison de Goma, malgré la présence d'un personnel médical professionnel et qualifié dans l'infirmerie des médicaments manque : « nous voudrons bien savoir où vont les fonds publics destinés à la prise en charge des prisonniers dans les établissements pénitentiaires ? », S'interroge Gorge KAPIMBA de l'ONG ACAJ (Association Congolaise pour l'Accès à la Justice) « D’autant plus que l'on ne cesse d'assister à des cas de pénurie d'aliments, de médicaments et une situation sanitaire déplorable dans la plupart des prisons congolaises qui cause des morts » son alerte était lancée sur la carence de nourriture dans la Prison centrale de Makala à Kinshasa il y a quelques jours. En rappel il y a quelques semaines à Goma, une alerte avait été également lancée à la prison centrale de Munzenze pour une rupture de stocks de la nourriture et des médicaments depuis plusieurs mois. Malgré cette alerte, cette maison carcérale n'est pas sortie de l'auberge. Cette situation a perduré, retenons que ce triste constat est observé dans la quasi-totalité des prisons à travers le pays.
Décès en série dans les
prisons !
On rappelle que
les mois derniers, deux détenus sont décédés dans la Prison centrale de Kakwangura à Butembo, Nord-Kivu à la suite
d'une insuffisance alimentaire. L'ONGDH « Fondation Prime Métale », avait publié le chiffre de 150 malnutris sur un
effectif de plus de 600 prisonniers. Le Même constat est observé dans autres
prisons partout en République Démocratique du Congo. Ce que dénoncent les
organisations de droit de l'homme. Le vice-ministre de la justice veut voir
clair, concernant la carence de nourriture à la Prison centrale de Makala, Bernard Takahiche dit être au courant de tout ce qui se passe dans ce
centre pénitentiaire et promet de trouver une solution le plus rapidement
possible. Il dit ne pas comprendre que malgré les moyens conséquents mis à la
disposition de cette prison, des cas de pénurie d'aliments soient toujours
signalés. « On ne peut pas comprendre que nous dotons des fonds pour la prise
en charge des prisonniers et qu'on nous surprenne au bout de quelques jours
qu'il n'y a plus rien à la prison. Ce sont des choses que nous ne pouvons pas
tolérer», a martelé Bernard Takahiche l'intérimaire du vice-ministre en charge de la
Justice et Garde des Sceaux.
La prison un chemin de la
croix en RDC
Alors que le
budget national, le gouvernement défalque de l'argent pour la prise en charge
de personnes incarcérées, l'ironie du sort les détenues continuent de vivre
dans de condition épouvantable alors qu'ils ont des droits. De toute façon,
en RDC les détenus vivent
dans des conditions précaires des salles de détention exiguës, l'obscurité, pas
d'installations hygiéniques, absence des soins de santé, la famine et
surpopulation alors qu'il y a des droits reconnus aux prisonniers en RDC. Des observateurs pensent
que les inspecteurs du ministère de la justice devraient être jetés dans des
milieux carcéraux pour comprendre ce qui se passe réellement dans la gestion de
l'argent mis à leur disposition. On ne devait pas se limiter seulement à
l'alimentation des prisonniers, mais plutôt s'étendre sur d'autres aspects
ayant trait à l'organisation carcérale dans sa globalité. En outre, il faudrait
plutôt désengorger toutes les prisons de la R.D. C et d'en construire d'autres
répondant à la démographie de chaque ville de la République Démocratique du
Congo.
Alain WANDIMOYI
mardi 1 septembre 2020
vendredi 28 août 2020
Goma : Quand le PADMPME dévoile les politiques gouvernementales pour la promotion de l'entrepreneuriat à Goma.
C'est grâce à un prêt de la Banque Mondiale au Gouvernement congolais que 1 800 entrepreneurs femmes, jeunes et commerçantes de Goma seront appuyés pour booster l'entrepreneuriat par le PADMPEME. Des jeunes entrepreneurs salue l'initiative et SE préparent 0 peaufiner leurs projets. Le ministère de PMES attend les résultats de bénéficiaire et met en garde toutes interférences politiciennes.
Le Gouvernement de la République Démocratique du Congo a obtenu de la banque Mondiale un crédit de 100 millions de dollars américains pour lancer le projet d'appui au développement de Micro, petites et moyennes entreprises, PADMPEME en sigle ; c'est dans le cadre de la stratégie du développement dans le secteur privé. Cette subvention concerne de jeunes filles et garçon de 18 à 35 ans et femmes micro entrepreneures, femmes entrepreneurs et commerçantes. C'est au cours de la matinée d'information le 24 août dernier jour du lancement de projet à l'hôtel Linda de Goma. Ce projet va étendre ses activités pendant cinq ans.
C'est à occasion d'une matinée d'échange et d'information que le Ministre des classes moyennes, petites et moyennes entreprises et artisanat a expliqué aux publics les articulations de son programme du développement de PME en ville de Goma. Avant de lancer l'activité le Ministre de l'industrie a rassuré son collègue de PME sur l'esprit entrepreneurial de fils et fille de Goma chef-lieu de la province du Nord-Kivu : « le choix de Goma n'est pas un hasard, les moyens qui seront envoyés ici va rencontrer des entrepreneurs qui ont déjà commencé à entreprendre », a indiqué Julien PALUKU KAHONGYA Ministre Nationale de l'Industrie
Pendant ce temps, le Ministre des classes moyennes, petites et moyennes entreprises et artisanat il a expliqué à ses interlocuteurs les articulations de son programme du développement de PME en ville de Goma. « En dépit des conséquences économiques causé par la Covid-19, une solution palliative s'appelle PADMPME avec un apport de subvention, non seulement elle apporte un appui financier, mais aussi des formations aux femmes et jeunes », révèle Justin KALUMBA MWANA NGONGO Ministre National des classes moyennes, petites et moyennes entreprises, artisanat.
Retenons que ce fond va créer 9
000 emplois dont 4500 femmes micro entrepreneurs 2500 femmes vont recevoir des
subventions, 500 petites et moyennes entreprises et 750 jeunes seront
subventionnés pour soutenir l'élan entrepreneurial de Goma.
Sans résultats stop la subvention
Ce n'est pas parce que l'on parle
de la subvention que ça va se passer à tout vent à indiquer le Ministre de PME. Il a cet effet exhorté le bénéficier de se focaliser sur le
résultat tout en mettant en garde toute interférence politicienne dans
l'exécution de ce projet : « Attention, nous serons très sensibles aux
résultats s'il n'y a pas de résultat ça s'arrête, car le succès de ce projet va
attirer d'autres au bénéfice d'autre ville comme Bukavu, Butembo...
» Tout de même il met en garde des interférences
politiciennes dans ce projet : « Je suis politique, le ministre de l'industrie
de même, ce projet n'est pas politique, ce projet n'est pas là pour pré financer
2023 » a-t-il insisté.
Des jeunes vers un ouf de soulagement
Des potentiels entrepreneurs dans
saluent le programme et promettent d'en faire bon usage de la subvention qui
leur sera attribué par le projet PADMPME au
profit de leurs entreprises déjà à pied d'œuvre : « je suis content de cette
subvention de la banque Mondiale, ceci vient appuyer nos entreprises. Moi je
travaille avec des machines que je moi-même fabriquées d'une manière locale
devant ces difficultés, c'est impérieux que je sois aussi subventionné, car
cela va m'aider à agrandir mon entreprise et cela sera profitable à tous les
congolais. Je veux aussi engager plusieurs personnes et mon business va
s'étendre partout au pays voir même partout dans le monde », déclare KALINDA SALUMU Alexis promoteur de la chocolaterie LOWA.
D'autre
part la jeunesse, pense que la subvention tombe à point nommé, c'est l'ère de
bien peaufiner le projet et de bien gère le fond en bon père de famille.
Toutefois, il ne suffit pas de saluer et de féliciter le programme, mais il
sied de s'en approprier en s'enregistrant auprès de site d'enregistrement
éclaté dans plusieurs coins de la ville de Goma. L'enregistrement de P.M.E.S et M. P.M.E a commencé
le lundi le
24 août et va se clôturer le 06 septembre 2020
© LA CRUCHE HEBDO. Août 2020
jeudi 18 juin 2020
MICRO BALLADEUR : Et les réseaux sociaux propagent l'évasion des malades de Covid-19 à Bukavu jaillit la psychose à Goma ! En dépit de la lumière apportée par l'autorité provinciale du Sud Kivu sur les incidents survenus dans un centre d'isolement des malades de Covid-19 à Bukavu. D'autre part, il circule des images sur les réseaux sociaux relayant le saccage d'un centre de traitement de COVID-19 par de manifestant en colère à Bukavu, du coup la psychose et une peur bleue hante de nombreuses personnes pour d'éventuelles contaminations en cascades dans la ville voisine de Bukavu et Goma. Face à cette évaporation dans la nature des malades de Covid-19 qui défraie la chronique dans les réseaux sociaux ; la rédaction de la Cruche Hebdo a baladé le micro à Goma, pour s'imprégner de la perception des habitants par rapport à Covid-19 vu cette large diffusion sur les réseaux sociaux. Depuis le début de cette semaine dernière nouvelle malheureuse de l'attaque d'un centre de traitement de Covid-19 qui se répand sur les réseaux sociaux comme le feu de paille. Des photos et commentaire fusent dans tout le sens sur WhatsApp, Facebook … Ses observateurs avertis redoutent des conséquences fâcheuses qui vont suivre cet acte incivisme des manifestants : « Les autorités de nos deux villes voisines doivent prendre ce problème à bras le corps. Pendant que nous sommes en train de se frotter les mains sur l'évolution qui baisse par rapport aux personnes guéries et déchargés ici à Goma. À Bukavu des inciviques se permettent de caillasse un centre de traitement et obligeant tout le malade de prendre la poudre d'escampette », S'indigne une femme qui nous exhibe les images téléchargées sur WhatsApp. Pourtant, il y a quelque jour le Docteur Mukwege membre de la riposte contre Covid-19 au Sud Kivu venait de démissionner. Il a dénoncé une gestion opaque et l'incivisme de la population du sud Kivu comme les causes de sa démission : « cette alerte du prix Nobel de la paix devait plutôt servir de garde-fou aux autorités ainsi que toute la population du Kivu à se remettre en cause et voilà tous les efforts déjà fournis contre cette pandémie vient de tomber à moule », regrette un tenancier d'un bistrot fermé, depuis la déclaration de Covid-19 en République Démocratique du Congo. Des guérisons, mais péril en demeure ? En dépit de décharge des plusieurs personnes guéri de Covid-19 au Nord Kivu, cette attaque du centre de traitement vient de créer une psychose et un désarroi : « c'est horrible moi qui commençai à espérer que nous sommes en train de vaincre petit à petit la pandémie et voilà des manifestants inciviques viennent de nous largeur une bombe dans notre cachette j'ai peur du retour de la manivelle », souligne un habitant que nous avions interviewé. L'incivisme a atteint un paroxysme sans précédent dans le quotidien de certains comme l'a dénoncé d'autres ces revendeurs du carburant : « Il y a des inconscient dans notre pays, je me demande où sont partis ces inconscients malades interné dans ce centre ? Que font les autorités pour les retrouver ? Quelle est cette famille qui va cautionner de mettre non seulement sa famille en péril, également toute la communauté en accueillant ces évadés quelqu'un soit leur appartenance familiale ? » S'interroge-t-il « ça sera une aberration de la part de ceux-là qui minimise la menace qui pèse sur l'humanité à cause de cette pandémie, ça fait plusieurs mois que nous sommes anéanti par le Covid-19. Trop c'est trop les autorités doivent trouver une solution idoine et la population doit faciliter en dénonçant ces fuyards ». Propose un sportif. Crainte de la propagation à grande échelle Certains observateurs de Goma craignent que la courbe de propagation soit ascendante et se propage dans la ville qui se distingue par de guérisons. Si les autorités de la province du Nord Kivu ne prennent pas de mesures contraignantes sur des cas éventuelles. Nos sources invitent tour citoyen de Goma et Bukavu d'adopter un comportement civique, mais redoutent qu'une ville infecte l'autre : « Nous devons prendre notre responsabilité, main je crains l'infiltration de certains cas évadé de Bukavu vers Goma. Nous devons être responsables surtout de ne pas cacher des fugitifs dans nos ménages », insistant un citoyen de Goma « Même si c'est ton frère il faut l'aider à n'est pas contaminer toute ta famille en ricoché toute la communauté, car un seul cas peut embraser tout un pays. », Ajoute un autre habitant interroger pendant la réalisation de notre micro baladeur à Goma. Le Covid-19 vient de consumer plusieurs personnes partout dans le monde. Tous nous sommes concernés, lutons ensemble pour stopper sa propagation en respectant les mesures barrières que le président de la République avait décrété aussitôt que Covid-19 était déclaré en République Démocratique du Congo. Propos recueillit par Alain Wandimoyi Revue de presse Une lumière sur les incidents survenus au centre d'isolement des malades de Covid-19 à Bukavu relayé dans les réseaux sociaux. Selon notre confrère David Tommy LUPEMBA d'ACTU7.CD, un média en ligne non aligné dans sa publication du 15 juin2020. Il précise : « Le Gouverneur du Sud Kivu réagit sur les informations concernant la destruction du centre d'isolement des malades de coronavirus à Bukavu ainsi que la fuite de certains patients, à l'issue d'une marche de colère de la population après l'assassinat d'un taxi man par des hommes la nuit du lundi 15 au mardi 16 juin 2020. En effet la cellule de communication du Gouverneur de la province du Sud Kivu précise que malgré ces actes de vandalisme, le personnel soignant et les malades internés dans ce centre sont sains et saufs et personne ne s'est volatilisé dans la nature », A indiqué notre confrère. Désormais Bukavu est doté d'un laboratoire pour tester Covid-19 à rapporter par Radio Okapi La province du Sud Kivu dispose de sa propriété d'un laboratoire de l’I.N.R.B, ce laboratoire est installé à l'Université Catholique de Bukavu a été inauguré le 17 juin 2020 par le gouverneur de province du Sud Kivu Théo KASI NGWABIJE a indiqué, ce laboratoire permettra d'avoir rapidement les résultats des cas des échantillons prélevé sur les personnes suspecté porteuse du Coronavirus. Toutefois, l'autorité provinciale du Sud Kivu regrette du relâchement de la population de Bukavu dans l'observance des mesures barrières contre Covid-19. La ville de Bukavu est l'actuel l'épicentre de la maladie dans la partie est du pays avec 108 cas positifs dont plus de 10 décès le Gouverneur Théo KASI NGWABIJE au micro d’Emmanuel Elameji Wakabedi de Radio Okapi : « le laboratoire que nous recevons aujourd'hui c'est l'instrument qui jusque-là manquait dans la province du Sud Kivu pour bien mener la riposte contre Covid-19. Désormais nous aurons les résultats dans un temps record et nos équipes engagés sur la première ligne exploitera utilement les résultats rapides qu'ils vont enregistrer. À cette occasion de la réception de notre laboratoire je ne cesserais d'insister sur la nécessité pour des compatriotes sur qui les signes covid se manifestent de se rendre le plus tôt possible à l'hôpital pour une prise en charge médicale adéquate. Nous déplorons par moment des comportements de certains compatriotes non seulement qui décident délibérément de se protéger et de protéger les autres, mais aussi se permettent de poser des actes inciviques tentant à défier l'état et de mener un affront contre les services spécialisés engagé à œuvrer pour le bien-être de nous tous. La désinformation et l'intoxication de certains acteurs sociaux politique à mal de positionnement sur les réseaux sociaux est à dénoncer. »
du coup la psychose et une peur bleue hante de nombreuses personnes pour d'éventuelles contaminations en cascades dans la ville voisine de Bukavu et Goma. Face à cette évaporation dans la nature des malades de Covid-19 qui défraie la chronique dans les réseaux sociaux ; la rédaction de la Cruche Hebdo a baladé le micro à Goma, pour s'imprégner de la perception des habitants par rapport à Covid-19 vu cette large diffusion sur les réseaux sociaux.MICRO BALLADEUR :
jeudi 16 janvier 2020
Des compagnies de télécommunication « trompe-l’œil » par une visibilité excessive pour des réseaux obsolètes à Idjwi
A quoi s'attendre quand on voyage pour l'île d'Idjwi à l'est de la République Démocratique du Congo au sujet de la communication cellulaire ? C'est la galère et pourtant lorsque l'on foule le sol d'Idjwi, considéré comme la perle de l'Afrique des Grands-lacs, un territoire qui est à cheval entre la ville de Bukavu et de Goma, isolé entre deux eaux elle est joignable hélas un peu enclavé du point de vue de la communication. L'ironie du sort quand l'on quitte le port on constate au bord des routes on aperçoit une forte visibilité des compagnies de communication notamment Airtel RDC, Vodacom RDC et Orange RDC qui ornent les murs des maisons, des parasols pour abriter les revendeurs des crédits (unités) d'appel sont installés aux bords des routes et ruelles de l'île, mais en réalité la communication avec les téléphones mobiles pose un sérieux problème.
« C'est comme vous le constatez ici à Idjwi nous avons Vodacom, Airtel et Orange, mais les réseaux posent problème, même pour recharger les unités il faut une gymnastique. Certain de nos clients préfèrent acheter leurs crédits à Bukavu ou Goma avant de venir ici à Idjwi quand du coup c'est un manque à gagner pour nous revendeurs de l'île », regrette un revendeur. Même cris de detresse pour les visiteurs et touristes en séjour dans l'archipel : « c'est anormal ce que je vis ici comment je peux avoir un réseau obsolète ici à Idjwi ? Il suffit de bouger d'un lieu on devient hors périmètre cellulaire ? Je ne sais pas parler à ma famille en restant sur mon lit d'hôtel je suis obligé de quitter ma chambre pour chercher le réseau ! Ça c'est une privation de son intimité familiale », déplore Michel Borauzima
Un peu isolé et enclavé par téléphone
Vous êtes sans ignorer qu'Idjwi est un peu isolé par sa situation géographique, y ajouter ce calvaire d'une connexion téléphonique très obsolète fait révolter plusieurs consommateurs d'Idjwi : « C'est révoltant que ça se passe ainsi dans un pays respectueux. Comment expliqué qu'un réseau étranger domine des réseaux dit nationale ? C'est ça la réalité ici chez nous le réseau MTN du Rwanda arrose une grande partie est de l'ile ; pour ceux qu’utilisent MTN qui se frottent les mains, nous autres c'est à chaque instant que nous sommes dans le rouming d'un réseau étranger qui brouille notre communication », affirme un habitant de l’archipel sous anonymat.