Déjà onze mois depuis que la maladie d’Ebola est déclarée en territoire de Beni avant de se propager dans
plusieurs localités du grand Nord-Kivu et une partie de l’Ituri pour un cas isolé à
Goma Chef-lieu du Nord Kivu. Il y –t-il un lien entre la survie et
l’éradication cette maladie ? Certains
failles causerait la résistance de cette dernière notamment une communication
opaque, la corruption, le clientélisme laisse une confusion dans la riposte
d’Ebola ; L’insécurité et la politisation de la maladie, mais aussi une forte
densité de la population en mouvement pour les activités commerciaux et
agropastorales.
Une résistance contre
la riposte de la maladie à virus Ebola est perceptible à Beni, Butembo et ses
environs. C’est depuis la déclaration d’Ebola par le ministère de la santé. L’insécurité
et la politisation de cette maladie est parmi
grand facteur de la prestance d’Ebola dans la Région. Notons que la
période électorale, certains politiciens ont manipulé la population par des
messages haineux contre leurs adversaires politique aussi sur l’implication de l’OMS par un financement à la
hauteur de plusieurs million de dollars.
Notons également cette maladie s’est déclarée dans une zone ou l’insécurité
politisée est signalée. A cela s’ajoute une faible communication qui laisse planer
l’intoxication via les réseaux sociaux. Ce qui ajoute bien d’autres maux
rongent le bon fonctionnement de la riposte notamment.
Ce climat
d’insécurité ne facilite pas aussi la tâche des prestataires dans la lutte
contre cette maladie devenue une urgence de santé Internationale. Mais aussi une injustice sociale qui ne dit pas son nom
face à un taux de chômage élevé d’une jeunesse intellectuelle qui est jaloux de
la présence d’un personnel étranger de la zone de Beni et Butembo.
Les responsabilités sont partagées : Au
départ une faiblesse dans la stratégie
de communication à l’interne entre les agents engagé dans la riposte ensuite le
critère de sélection de sensibilisateurs, ces derniers n’ayant pas une
formation adéquate sur la sociologie de la région ce qui fait que certain
manquent quoi dire aux populations cible déjà intoxique par des politiciens au départ sur la maladie à
virus Ebola.
Les grands ennemis de la riposte contre Ebola
sont de critères d’embauche et des
partenaires dans la lutte contre la maladie à virus Ebola. C’est entre
autre : le népotisme, favoritisme, le copinage entre
les organisations, corruption, concussion et opérations retour. Par exemple le
cas de location de véhicule et d’autres projets de sensibilisation où certain
partenaire signe de sommes supérieur à la somme reçu.
Ainsi dit, la
politisation et l’intoxication au sujet
du virus à Ebola devant une communication fermée et faible a suscité plusieurs questions c’est
pourquoi la rumeur a dominé la
communication via les réseaux sociaux.
La communication à laisser le temps à la rumeur chacun communique selon
qu’il comprend, l’exemple du concept enterrements
digne et sécurise, les visites au malade… Ici on devait tenir compte de l’aspect
culturel et sociologique de la zone.
La
communication de la riposte s’est
focalisé dans institutionnelle en
ignorent de citoyens ordinaires qui sont exposées à la maladie à virus
Ebola. Il devrait plutôt multiplier la
communication de masse sur cette maladie par exemple sur le temps que prennent
les analyses au laboratoire avant
les résultats. Pour que la population s’approprie de la riposte
contre le virus Ebola.
Aujourd’hui
Ebola refait surface à Beni, Bunia et Goma, suite au mouvement de la population avec une forte densité, cette mauvaise
communication qui laisse planer le doute.
il y a aussi une mauvaise sélection des agents
et leur mode de traitement par rapport aux personnels locaux qui deviennent démotives. La mauvaise conduite de personnes guéris qui
sont engagés dans la riposte et qui se livrerait
à la débauche sexuelle, ceci est aussi
un facteur qui faciliterait cette
résistance d’EBILA, même dans des zones où la propagation était déjà stabilisée.
Selon nos source : dit-on qu’un
homme guéri, le microbe d’Ebola reste dans son sperme pendant plusieurs mois !
Egalement l’ignorance
dans certains églises où des pasteurs se
proclament guérir des malades d’Ebola par la domination de mains dans leurs chambres de prière, un
mauvais usage de réseaux sociaux qui véhicule de rumeurs et certains charlatans
de la médecine traditionnelle qui vante
soigner toute les maladies.
Ebola existe,
seul la prise de conscience et la compréhension de tous dans la
sensibilisation, l’observation des
règles d’hygiène va aider à éradiquer cette maladie qui continue à tuer dont on
enregistre à ces jours plus 1600 personnes.
Musondolya Kasereka.