Monsieur Pedram charge de la communication CICR Goma prononce le mot pour la circonstance.
De gauche à droiten Monsieur Vincent de Paul Rushago secrétaire du club, Monsieur Espoir Kangela journaliste membre du club, Monsieur Albert Tulinabo Coordonnateur adjoint du club et Monsieur Alain Wandimoyi journaliste membre du club des journalistes ami de la Croix-Rouge de Goma.
La fin d'une année est un moment pour les amis, collègues et autres pour se souhaiter les vœux. Cette tradition n'est pas passée à l'inaperçu aux journalistes membres du club des journalistes amis de la Croix-Rouge de Goma. Le décembre 2010 s’est déroulée dans la salle polyvalente de la Croix-Rouge à Goma une cérémonie d’échange de vœux du club des journalistes amis de la Croix-Rouge en présence du représentant du CICR, sous-délégation du Nord-Kivu et du représentant de la CRRDC en province du Nord-Kivu.
Photo de famille du club des journalistes amis de la Croix-Rouge
de Goma.
Le coordonnateur du club des journalistes amis de la Croix-Rouge a remercié la CICR et la CRRDC d'avoir facilité les journalistes membres, tout au long de l'année 2010, à faire des rencontres régulières et même à se rendre sur terrain pour faire des reportages humanitaires. A cette même occasion il a remercier les organes de presse qui ont diffusé des émissions ou écrit des articles sur la situation humanitaire en province sans oublier les journalistes qui ont rendu ces reportages en demandant à la CRRDC et au CICR de pouvoir primer, pour cette année 2011, le journaliste qui auront produit ou réalisé plus de reportages humanitaires. Pour 2011, la priorité va se focaliser sur les reportages de l'actualité humanitaire, la réalisation des émissions de qualité et pour y arriver, une formation en montage, son est prévu pour les membres de ce club.
Monsieur Primo Pascal Rudahigwa coordonateur du club des journalistes amis de la Croix-Rouge à Goma, prononce son discours pour la circonstance d'échanges de voeux.
Le représentant du CICR s'est dit satisfait de ce club et a transmis les vœux depuis Genève tout en rappelant que l'année 2011 est l'année anniversaire de la Croix-Rouge, car elle fête son cinquantenaire le 1er mars 2011. Il a promis l'assistance du CICR tous les temps que les journalistes membres de ce club auront besoin pour des reportages humanitaires. Le secrétaire exécutif provincial de la CCRDC représentant du président provincial, a souhaité que cette année soit encore une fois une année où les journalistes amis de la Croix-Rouge vont scellé leur relation avec cette organisation philanthropique. Après ces mots de circonstance, la cérémonie s'est déroulée dans une ambiance de fête à la satisfaction de tous.
samedi 8 janvier 2011
lundi 3 janvier 2011
Consommation abusive de l'alcool dans les rues de Goma à qui la responsabilité ?
Il prends d'abord sa cigarette en chantant avant d'attaquer son "Kindingi" qu'il adore bien
Depuis plusieurs mois nombreux personnes, surtout jeunes, s'adonnent à des boissons alcoolisées, même à la drogue et autres substances nuisibles à la santé, dans certains cas l’excès conduit à des actes de banditisme et même à la perte de certains membres du corps. La jeunesse de Goma devient de plus en plus active et amoureux de " Sapilo " un alcool supérieur à 45% importé de l'Ouganda, cette pratique devient de plus en plus récurant, de petits enfants, adulte en consomment à une quantité industrielle.
L'échantillon de consommateur de l'alcool portatif avec des trace montrant la conséquence de la consommation abusive
Ce dernier coute moins cher avec seulement 100Fc trois consommateurs sont ivres à mort, vous conviendrez avec moi que ceux qui en consomment à flot sont des chauffeurs et conducteurs des motos, les adolescents et les enfants de la rue, conséquence, des accidents incalculables, des abus de toutes sortes.
Perdu de vue ! après avoir ingurgité quelques litre de ce liquide infâme sa veste devient lourde.
Ce qui est marrant est que certains étudiants et élève importe ces boissons alcoolisées dans leurs institutions scolaires et académiques, je me demande comment construire de notre pays avec cette manie où la jeunesse se droguent sans qu'il ait de mesure répressive contre cette pratique ? Je vois à Kinshasa le" Supu na tolo" avec au taux d'alcool allant de 45 jusqu'à X%, à Goma Le "Sapilo" même taux que le premier.
Cette jeunesse de Goma sous l'effet de l'excès de Sapilo exhibent le Karaté en pleine rue! Si c'était une autre personne, imaginez la suite
Ce liquide infâme s'impose dans les milieux de la jeunesse pourtant espoir de demain ! Quelle est la solution pour éradiquer cette tendance qui s'implante dans plusieurs villes en Rd Congo ? Il ne suffit pas de voir ce problème d'un seul côté, car la responsabilité est partagée, que chacun y apporte sa contribution.
Depuis plusieurs mois nombreux personnes, surtout jeunes, s'adonnent à des boissons alcoolisées, même à la drogue et autres substances nuisibles à la santé, dans certains cas l’excès conduit à des actes de banditisme et même à la perte de certains membres du corps. La jeunesse de Goma devient de plus en plus active et amoureux de " Sapilo " un alcool supérieur à 45% importé de l'Ouganda, cette pratique devient de plus en plus récurant, de petits enfants, adulte en consomment à une quantité industrielle.
L'échantillon de consommateur de l'alcool portatif avec des trace montrant la conséquence de la consommation abusive
Ce dernier coute moins cher avec seulement 100Fc trois consommateurs sont ivres à mort, vous conviendrez avec moi que ceux qui en consomment à flot sont des chauffeurs et conducteurs des motos, les adolescents et les enfants de la rue, conséquence, des accidents incalculables, des abus de toutes sortes.
Perdu de vue ! après avoir ingurgité quelques litre de ce liquide infâme sa veste devient lourde.
Ce qui est marrant est que certains étudiants et élève importe ces boissons alcoolisées dans leurs institutions scolaires et académiques, je me demande comment construire de notre pays avec cette manie où la jeunesse se droguent sans qu'il ait de mesure répressive contre cette pratique ? Je vois à Kinshasa le" Supu na tolo" avec au taux d'alcool allant de 45 jusqu'à X%, à Goma Le "Sapilo" même taux que le premier.
Cette jeunesse de Goma sous l'effet de l'excès de Sapilo exhibent le Karaté en pleine rue! Si c'était une autre personne, imaginez la suite
Ce liquide infâme s'impose dans les milieux de la jeunesse pourtant espoir de demain ! Quelle est la solution pour éradiquer cette tendance qui s'implante dans plusieurs villes en Rd Congo ? Il ne suffit pas de voir ce problème d'un seul côté, car la responsabilité est partagée, que chacun y apporte sa contribution.
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