mercredi 31 décembre 2014
A nos actes manqué et réussi durent l'année 2014
Dans quelques heures nous allons vers la fin de l'année 2014.
D'entrer de jeu nous n'allons
pas nous alarmé aux ratés, car nous avions brisé la glace de
la désinformation ; pour moi c'est une grande joie d'avoir fait de grands
reportages auquel le monde avait focalisé son attention, certes ce n'est
pas facile de réaliser des reportages de ce genre lorsqu'on est directement concerné.
La situation qui prévalait en ce temps à l'est de la République Démocratique du Congo, professionnalisme oblige, nous avons été parmi de rare photojournaliste qui ont couvert les opérations dite Sokola 1 jusqu'au macabre événement de Beni.
C'était la débandade et la consternation après l'assassinat du Colonel Mamadou Ndala, le 02-janvier-2014 à NgadiLa situation qui prévalait en ce temps à l'est de la République Démocratique du Congo, professionnalisme oblige, nous avons été parmi de rare photojournaliste qui ont couvert les opérations dite Sokola 1 jusqu'au macabre événement de Beni.
Ngadi une dizaine de km de Bine, nous sommes le 2 janvier 2014 à 11 heure de Beni, la voiture de Mamadou en feu a près l’embuscade.
Quelques jours après l’assassinat de Mamadou Ndala l'armé Congolaise lance des Bombes sur les positions de ADF/Nalu a partir de Kokola jusqu'à Amisi l'une position des rebelles Ougandais.
Qui a
été d'une part une réussite et quelques échecs, sur le plan professionnel nous
avons réalisé beaucoup de choses, mais aussi des ratés.
Au Cœur de Goma le rond point des banques
Vue panoramique du fleuve Congo en province Orientale vers Dungu.
Des enfants séparé de leurs parents lors de la guerre sont réinséré par le C.I.C.R
Il était 11heures lorsque,
Victor Bigati, Kenny Katombe, Auster Malivika et moi avons parcouru la forêt
dense du territoire de Beni dans un reportage périlleux, car cette jungle était
le fief d'ADF/Nalu. Nous avions escaladé des montagnes et collines dans cette
végétation très difficile où l'on cherchait la route à coup de machette,
j'ai vu des villages entiers effacés de la carte de village de ce territoire
à cause de l'activisme des rebelles Ougandais qui ont semé la pagaille de cette
forêt depuis plus de vingtième.
Une nouvelle groupe armé en gestation étouffé par la vigilance de F.A.R.D.C
L'ironie du sort la mission dont on avait devraient se terminer dans
quelques 3 heures, mais ça nous a pris toute une journée entière à cause de manque de passage
lié aux difficultés de l'impraticabilité et l'inaccessibilité dans la forêt
imaginez de reporter coincé entre deux forces sans issue de sortie assoiffé et
affamé jusque plus tard jusqu'à 22 heures chacun est rentré à
son hôtel pour prendre un petit repos.
On devait y rentrer pour réaliser des interviews avec un fond montrant les villages Fantômes à Eringet avec le colonel Mamadou Ndala qui nous avait accordé un rendez dans les avant midi du 02-01-2014.
On devait y rentrer pour réaliser des interviews avec un fond montrant les villages Fantômes à Eringet avec le colonel Mamadou Ndala qui nous avait accordé un rendez dans les avant midi du 02-01-2014.
Le 31 décembre 2013, les FARDC traversent la profondeur de la forêt, mais aussi des rivières de Beni. Nous avons aussi couvert cette premier pénétration de l'armée Congolaise dans la zone contrôlé par le ADF/ Nalu depuis plus de 20ans.
Hélas on n'a pas
pu, car notre interlocuteur est tombé dans une embuscade à une dizaine de
minutes de son départ de l'hôtel Albertine de Beni où nous étions avec lui
quelques minutes avant. Malgré le risque nous sommes partis reporté cette
situation macabre.
Les Rwandais et Congolais discutent échangent de signataire a près une discussion et harmonisation sur les bornes frontières sujet à plusieurs controverse de limite entre ce deux pays voisin.
De mon côté comme vous le savez
le travail du report n'est pas toujours rose comme d'aucun ne
pense, c'est de sacrifice et risque énormes, c'est sur ce point que nous osons
dire que le journalisme est un métier de sacrifice ; durent toute cette année
nous avons non seulement traversé le risque mais aussi avons appris beaucoup de
choses, notamment l'apprentissage, mais aussi réussi à orienter notre regard
photographique non seulement en journalisme, mais aussi en photo artistique
avec un langage artistique et interpellatrice pour que le monde change
Le 16 Janvier 2014, quelques jours après la tragédie du 02-janvier-2014, Général Lucien Bauma sur le champ de bataille très rassuré par son commandement dirige l'opération sokola1.
Durent cette année tout n'a pas
été rose, car certain de nos projets n'ont pas abouti faute de moyen, A cet
effet notre souhait est que cette année soit une année de réussite pour tous
nos projets restés en suspens, car tout reste en projet et peuvent sensibiliser
la société congolaise dans tout le sens.
Nous avons aussi couvert l'arrivé de Kamerhe à Goma, malgré la polémique qui avait émaillé cette visite
Je déplore la mort des nos collègue tué notamment
Kennedy qui est mort dans une embuscade au front à Beni et pas plus qu'hier
l'assassinat de notre confrère Chamwami Shalubutu.
Nous exigeons des enquête et que le coupable soit sanctionné.
Le journalistes ne méritent pas ce genre de traitement. Que cette année soit rose au journalistes, car nous faisons beaucoup de sacrifice pour vous informer pour ça nous réclamons aussi votre soutien, assistance et sécurisation.
Nous avons aussi couvert l'enterrement de notre confrère Robert Chamwami Shalubutu assassiné il y a peu!Nous exigeons des enquête et que le coupable soit sanctionné.
Le journalistes ne méritent pas ce genre de traitement. Que cette année soit rose au journalistes, car nous faisons beaucoup de sacrifice pour vous informer pour ça nous réclamons aussi votre soutien, assistance et sécurisation.
La couverture des cérémonies officielles n'ont pas échappé à notre focus
Pour cette année, nous
comptons ré dynamiser le collectif Umoja Picha, pour que cette structure soit
un tremplin de photographe artistique ayant une vision et une démarche. Nous tenons à réaliser des activités artistiques notamment des
expositions photographiques des ateliers et échanges avec des artistes de la
région. À cela nous avons besoin de l'assistance de tout le monde.
Nous
souhaitons une heureuse année aux 66 327 visiteurs de Picha Na Mazungumuzo, que cette année soit une année de
réussites et de prospérité. À dieu 2014, vive 2015.
mardi 16 décembre 2014
Quid de l’hommage à William Elachi, une interpellation professionnelle o...
« 40 jours après sa mort les journalistes de Goma
lui rendent hommage à l’église. »
lui rendent hommage à l’église. »
A l'occasion de la célébration de 40 jours après la
mort de William Elachi, membre de l'information publique à la Monusco Goma, une
messe de requiem a été organisée pour la circonstance. Cette célébration œcuménique
s'est déroulée à la paroisse Saint-Esprit de Goma. Une franche des journalistes
ainsi que ses collègues ont rehaussé de leurs présences à cette messe de
requiem à l'honneur de William qui a été plus rapproché des journalistes locaux
qui se retrouvaient plus rapproché qu’un
frère et amis qui rendaient service à tout le monde sans tenir compte de son
appartenance. C'est-à-dire une personne au service de tous emplissant ainsi le critère
de Nations Unies s’il faut le dire ainsi.
mort de William Elachi, membre de l'information publique à la Monusco Goma, une
messe de requiem a été organisée pour la circonstance. Cette célébration œcuménique
s'est déroulée à la paroisse Saint-Esprit de Goma. Une franche des journalistes
ainsi que ses collègues ont rehaussé de leurs présences à cette messe de
requiem à l'honneur de William qui a été plus rapproché des journalistes locaux
qui se retrouvaient plus rapproché qu’un
frère et amis qui rendaient service à tout le monde sans tenir compte de son
appartenance. C'est-à-dire une personne au service de tous emplissant ainsi le critère
de Nations Unies s’il faut le dire ainsi.
L'homélie en cette circonstance lue dans les écritures
saintes «La Bible » qui ont corroboré
le travail que ce pasteur des
journalistes ne cessait de prêcher à ses confrères de Goma. Le prêtre n'a pas
cessé de rappel à chaque passage la mission du journaliste d'abord en le
considérant de prophète, car un prophète meurt toujours d'une façon mystérieuse
le cas de notre confrère William en témoigne. « La mort de William n'est pas une fatalité, car de son vivant, il
sacrifiait son temps et sa connaissance pour les autres à déclarer le
prédicateur du jour ». Thèse confirmé par la majorité des journalistes
présents.
saintes «La Bible » qui ont corroboré
le travail que ce pasteur des
journalistes ne cessait de prêcher à ses confrères de Goma. Le prêtre n'a pas
cessé de rappel à chaque passage la mission du journaliste d'abord en le
considérant de prophète, car un prophète meurt toujours d'une façon mystérieuse
le cas de notre confrère William en témoigne. « La mort de William n'est pas une fatalité, car de son vivant, il
sacrifiait son temps et sa connaissance pour les autres à déclarer le
prédicateur du jour ». Thèse confirmé par la majorité des journalistes
présents.
Durant
la messe il n'a pas manqué de rappeler le rôle d'un bon journaliste comme si ce
dernier était aussi journaliste ; il a fastigiée la pratique des journalistes
qui mettent en avant plan de l'argent, car cette pratique désoriente le
journaliste de sa mission de prophète. «
Un journaliste est un martyr de la vérité »a-t-il insisté. « Nous devons nous interroger ce que Dieu
est en train de nous dire à travers la mort de William ? », s'interroge
t-il.
la messe il n'a pas manqué de rappeler le rôle d'un bon journaliste comme si ce
dernier était aussi journaliste ; il a fastigiée la pratique des journalistes
qui mettent en avant plan de l'argent, car cette pratique désoriente le
journaliste de sa mission de prophète. «
Un journaliste est un martyr de la vérité »a-t-il insisté. « Nous devons nous interroger ce que Dieu
est en train de nous dire à travers la mort de William ? », s'interroge
t-il.
« Pour ce faire
le journaliste à la même mission que le prophète, car il informe la population
sur la vérité et meurt toujours d'une façon mystérieuse. En rappel le
journalisme on le fait toujours par vocation et non pour l'argent. »
le journaliste à la même mission que le prophète, car il informe la population
sur la vérité et meurt toujours d'une façon mystérieuse. En rappel le
journalisme on le fait toujours par vocation et non pour l'argent. »
Un journaliste est un martyr de la vérité, car la
vérité sauve. Il sied de signaler que le chiffre 40 est un moment de
souffrance, le cas des Israéliens dans le désert, de 40 jours de tentation de
Satan à Jésus et d'autres cas que la bible nous rapporte. Que la mort de
William 40 jours après nous interpelle tous en attendent l'avènement du Christ,
donc nous devons nous purifier.
vérité sauve. Il sied de signaler que le chiffre 40 est un moment de
souffrance, le cas des Israéliens dans le désert, de 40 jours de tentation de
Satan à Jésus et d'autres cas que la bible nous rapporte. Que la mort de
William 40 jours après nous interpelle tous en attendent l'avènement du Christ,
donc nous devons nous purifier.
Après la messe les journalistes présents sont partis
prendre un verre de rafraichissement au quartier Général de la Monusco où les
mots de circonstance ont été prononcés, mais aussi des commentaires sur la
profondeur de la prédication que d'aucun ne qualifie d'interpellatrice d'une
façon spirituelle et professionnel.
prendre un verre de rafraichissement au quartier Général de la Monusco où les
mots de circonstance ont été prononcés, mais aussi des commentaires sur la
profondeur de la prédication que d'aucun ne qualifie d'interpellatrice d'une
façon spirituelle et professionnel.
Quid de l’hommage à William Elachi, une interpellation professionnelle ou spirituelle ?
« 40 jours après sa mort les journalistes de Goma
lui rendent hommage à l’église. »
A l'occasion de la célébration de 40 jours après la
mort de William Elachi, membre de l'information publique à la Monusco Goma, une
messe de requiem a été organisée pour la circonstance. Cette célébration œcuménique
s'est déroulée à la paroisse Saint-Esprit de Goma. Une franche des journalistes
ainsi que ses collègues ont rehaussé de leurs présences à cette messe de
requiem à l'honneur de William qui a été plus rapproché des journalistes locaux
qui se retrouvaient plus rapproché qu’un
frère et amis qui rendaient service à tout le monde sans tenir compte de son
appartenance. C'est-à-dire une personne au service de tous emplissant ainsi le critère
de Nations Unies s’il faut le dire ainsi.
L'homélie en cette circonstance lue dans les écritures
saintes «La Bible » qui ont corroboré
le travail que ce pasteur des
journalistes ne cessait de prêcher à ses confrères de Goma. Le prêtre n'a pas
cessé de rappel à chaque passage la mission du journaliste d'abord en le
considérant de prophète, car un prophète meurt toujours d'une façon mystérieuse
le cas de notre confrère William en témoigne. " La mort de William n'est pas une fatalité, car de son vivant, il
sacrifiait son temps et sa connaissance pour les autres à déclarer le
prédicateur du jour ". Thèse confirmé par la majorité des journalistes
présents.
Vue d'ensemble des journalistes dans l'église
Rôle du journaliste
Durant
la messe il n'a pas manqué de rappeler le rôle d'un bon journaliste comme si ce
dernier était aussi journaliste ; il a fastigiée la pratique des journalistes
qui mettent en avant plan de l'argent, car cette pratique désoriente le
journaliste de sa mission de prophète. «
Un journaliste est un martyr de la vérité »a-t-il insisté. « Nous devons nous interroger ce que Dieu
est en train de nous dire à travers la mort de William ? », s'interroge
t-il.
« Pour ce faire
le journaliste à la même mission que le prophète, car il informe la population
sur la vérité et meurt toujours d'une façon mystérieuse. En rappel le
journalisme on le fait toujours par vocation et non pour l'argent. »
Un journaliste est un martyr de la vérité, car la
vérité sauve. Il sied de signaler que le chiffre 40 est un moment de
souffrance, le cas des Israéliens dans le désert, de 40 jours de tentation de
Satan à Jésus et d'autres cas que la bible nous rapporte. Que la mort de
William 40 jours après nous interpelle tous en attendent l'avènement du Christ,
donc nous devons nous purifier.
De gauche à droite debout le président de l' U.N.P.C Nord Kivu Gabriel Lukeka Bin Miya qui témoigne sur William, Cosmas Mungazi avec le portrait de William, Martha Biongo PIO, Sifa Maguru journaliste Radio Okapi. Assis: Madame Kumbo et Amadou tous PIO Radio Okapi Goma.
Après la messe les journalistes présents sont partis
prendre un verre de rafraichissement au quartier Général de la Monusco où les
mots de circonstance ont été prononcés, mais aussi des commentaires sur la
profondeur de la prédication que d'aucun ne qualifie d'interpellatrice d'une
façon spirituelle et professionnel.
Notre vidéo en ligne sur YouTub de Alain Wandimoyi
jeudi 11 décembre 2014
15 ans Monuc-Monusco bilan mitigeur Martin Kobler éventre le boa
La Monusco jadis Monuc en prélude de 15 ans de l'existence en République démocratique du Congo. Cette date est célébrée ce jeudi 11 décembre 1014 d'une manière particulière. Le représentant spéciale du secrétaire général des nations unies au Congo Martin Kobler a conféré en vidéo conférence avec de journaliste à partir de Kinshasa et Goma avec les internautes des médias sociaux.
Papy Okito tend le micro à Martin Kobler il veut savoir plus sur l'assistance que la Monsco apporte aux FARDC
Les interlocuteurs ont posé leurs
préoccupations en temps réel via Internet. Cette conférence dont les questions
ont tourné autour du bilan, le départ, le rôle que jouent la Monusco, son
assistance et l'épineuse question de massacre de Beni, les élections, la question de droit de l'homme,relation entre Monusco et Gouvernement.... Martin Kobler a été plus
clair dans ses réponses aux questions des internautes. Sous la modération de Charles
Bambara porte parole de la Monusco. Pendant une heure des questions à temps
réel ont fusées de tous les horizons de la République Démocratique du Congo.
Martin Koble aux côtés de l'équipe de l'information public Monusco Goma, Amadou, Sykoumbo et Martha Bionga
Pour Sadiki Poshombili : - En quoi la Monuc est différente de la Monusco sur le plan opérationnel
?
Martin Kobler : - La différence entre
Monuc et Monusco, je crois que
nous avons toujours le même mandat qui est la protection de civile, puisqu'on
était impatient par rapport à la sécurité à l'est à cause d’une multiplicité
des groupes armé, c'est pourquoi nous avons aujourd'hui la brigade
d'intervention qui est une émanation de la résolution 2013, le conseil de sécurité était impatient
avec l'activisme de groupe armé à l'Est du Congo voilà on a dit qu'il faut
faire quelques choses.
Je gère ce poste déjà 18
mois. On m'a demandé de venir en RDC comme représentant spécial de l'ONU pour
faire quelques choses à fin d’atténuer les atrocités de la population causée
par les forces négatives. Que ce que l'on fait maintenant pour terminer
l'existence des force négative ?
Il nous faut une force robuste nous devons essayer de regarder
avec un regard politique, car l'armé peut trouver une solution, mais le plus
durable c’est lorsque les politiciens parlent un même langage. Pour trouver une paix
durable, nous devons aussi voir l'aspect économique et le développement, car la R d Congo est un pays riche il lui
faut un développement et la promotion des investissements privés. Sur le plan
opérationnel nous avions fait des opérations robuste pendant la chute du M23
qui a produit un progrès à Goma, Rutshuru et dans d'autre endroit, mais le
travail n'est pas encore fini il faut continuer.
Charles Bolo :- Vous êtes satisfait du travail abattu par la
Monusco durant les 15 dernières années ?
M.
Kobler : - Je dois dire deux choses, d'abord je suis satisfaite quand
il y a un progrès et je ne suis pas satisfaite quand certaines choses n'ont pas
évolués. Je vous demande ce qu'a été la situation il y a 15 ans ? Vous aviez eu
un pays divisé en trois parties, aujourd'hui vous avez un pays unifié. malgré
le problème de l'autorité de l'état, je suis satisfait lorsqu'on regarde dans
la direction des progrès sur le plan politique, nous avons assisté à
l'unification du Congo. Voilà nous avons aujourd'hui la République Démocratique
du Congo dans sa forme. Je ne suis pas satisfait dans d'autre piste surtout le
plan sécuritaire nous continuions à avoir des problèmes avec des force négatives
qui ont des implications régionales, mais on est en train de le régler.
J'ai été à Beni avec certains Ambassadeurs accrédité au Congo
pour qu'il comprenne le point de cette situation, car cela concerne la région.
Depuis la première quinzaine du mois d'octobre les forces négatives massacrent
plus de 200 personnes en territoire de Beni, ça c'est inadmissible.
Martin Kobler dit:" je suis satisfaite quand
il y a un progrès et je ne suis pas satisfaite quand certaines choses n'ont pas
évolués."
Je ne suis pas
satisfait de la situation sécuritaire ici dans le pays. Je suis alors
satisfaite pour le progrès que nous aurons fait lors de la chute du M23.
Aujourd'hui des paysans à Rutshuru, vous pouvez transporter vos produits
agricoles vers les zones des consommations comme à Kinshasa à travers l'aéroport
de Goma qui est en train d'être réhabilité avec une piste d'atterrissage de 2 650 m qui peut rassurer le vol avec vos
produits agricoles.
Beaucoup reste à faire. ce qui se passe à Beni
Eringeti, OICHAn et ailleurs doivent être réglé avec une détermination claire
sur l'influence, pour éradiquer des groupes armés et force négatives partout en RDC.
Pourquoi ne pas diminuer les effectifs de vos contingent lorsque
le M23 est bouté hors du territoire Congolais et le pays agresseurs ont retiré
leurs soutient aux rebelles ?
Martin Kobler : - Je suis tout à fait
d'accord que les effectifs de nos militaires de la Monusco doit être réduite,
mais il faut avoir une certaine garantie. Il faut développer un certain
indicateur à savoir la réduction de la violation de droit de l'homme et
l'éradication des forces négatives et groupe armé là nous pouvons partir.
La Monusco n'est pas ici pour y rester éternellement, on avait une grande réunion à New York pour étudier la revue en baisse des soldats de la Monusco ainsi que la présence des Nations Unies en République Démocratique du Congo.
La Monusco n'est pas ici pour y rester éternellement, on avait une grande réunion à New York pour étudier la revue en baisse des soldats de la Monusco ainsi que la présence des Nations Unies en République Démocratique du Congo.
Le secrétaire Général de
Nations Unies va présenter un rapport aux conseils de sécurité de l'ONU à la
fin de cette année. Dans quelques jours le conseil va s'exprimer comment la
Monusco peut réduire sa présence militaire et civil.
Si la situation est améliorée on peut aussi réduire nos dispositifs des forces. C'est très important d'encourager et d'appuyer les FARDC pour qu'elle reprenne sa responsabilité. Si l'autorité est restaurée, si la sécurité, la santé l'éducation et bien d'autre indicateur vitaux sont restauré, nous allons réduire notre présence même l'année prochaine.
Si la situation est améliorée on peut aussi réduire nos dispositifs des forces. C'est très important d'encourager et d'appuyer les FARDC pour qu'elle reprenne sa responsabilité. Si l'autorité est restaurée, si la sécurité, la santé l'éducation et bien d'autre indicateur vitaux sont restauré, nous allons réduire notre présence même l'année prochaine.
Kabingwa Justin
Ndala : - Comment peut-on expliqué le
massacre à Beni pourtant la Monusco est dotée de matériel grave encore ce
massacre se passe tout près de la base de la Monusco.
Martin Kobler : - C'est une question qui
me préoccupe aussi je suis allé plusieurs fois à Beni avec le commandant de la force d'intervention et
d’autre collègues. J'étais hier à Beni et je veux encore m'y rendre pour
discuter avec mes collègues avec le FARDC avec les notables pour décortiquer le
problème qui tourne autour de ce massacre.
Retenez que la question
sécuritaire n'est pas seulement pour la Monusco, tenez le FARDC à 170
bataillons à Beni. Nous n'avons qu'un seul bataillon là-bas. La question que vous
posez à la Monusco c'est la même question qu'on doit aussi poser le FARDC qui
d'ailleurs assez fort.
Je me demande pourquoi vous nous attaquer toujours à Beni à Mavivi ? La population manifestent contre la Monusco pour ne rien faire lorsqu'il y a eu massacre il y a aussi le FARDC qui est là !
Je me demande pourquoi vous nous attaquer toujours à Beni à Mavivi ? La population manifestent contre la Monusco pour ne rien faire lorsqu'il y a eu massacre il y a aussi le FARDC qui est là !
Ce que je dis toujours il
faut établir un triangle de confiance, ce triangle doit être entre la Monusco
le FARDC et la population.
Dans une situation où nous avons le massacre on ne peut pas être partout au même moment. Le récent massacre s'explique lorsqu'il y a eu une fête de mariage où il y a eu des infiltrations des ADF qui subitement ont pris de machette pour tuer la population.
Non la Monusco n'était pas là, le FARDC n'était pas là aussi, quand même les FARDC sont venus rapidement. On ne peut pas être partout. Je ne parviens pas à comprendre cette agression contre la Monusco.
Dans une situation où nous avons le massacre on ne peut pas être partout au même moment. Le récent massacre s'explique lorsqu'il y a eu une fête de mariage où il y a eu des infiltrations des ADF qui subitement ont pris de machette pour tuer la population.
Non la Monusco n'était pas là, le FARDC n'était pas là aussi, quand même les FARDC sont venus rapidement. On ne peut pas être partout. Je ne parviens pas à comprendre cette agression contre la Monusco.
Voici mon message à vous tous nous devons nous poser la question
est ce dont nous avons besoin du soutient de la Monusco ? La population
aidez-nous n'attaquer plus la Monusco, je comprends la colère de la population
nous avons la brigade d'intervention. Je comprends votre colère votre
frustration, mais j'ai discuté avec la société civile, j'ai parlé avec la
jeunesse de Beni je comprends vos arguments, surtout je vous demande s'il vous
plaît assistez nous. Je vous demande une coopération et un soutient aux FARDC.
C'est seulement la coopération entre la population, les Fardc et la Monusco
nous pouvons résoudre rapidement ce problème. Notre détermination conjointe
politique militaire.
Est-ce que le FDLR n'ont pas un pays? pourquoi les transférés à
Kisangani au lieu de les rapatrier au Rwanda. Quand ils rentrerons chez eux au Rwanda
?
Martin Kobler :- La plupart des
combattants FDLR sont des Rwandais, ils ont un pays c'est le Rwanda. Ils sont
ici et ils doivent rentrer chez eux,
pendant 15 ans nous avons déjà rapatrié plus de 11 000 combattants de FDLR au
Rwanda. Retenez que la plupart sont déjà rapatriée au
Rwanda. Maintenant on a le plan du gouvernement Congolais qui a proposé le site
de transite de Kisangani pour le combattant qui veulent rentrer chez eux via Kisangani pour un
autre pays que la RDC.
Le samedi dernier j'étais à Kisangani dans le site de transit j'ai parlé avec les ex- combattant de FDLR qui venait de Kanyabayonga et Walungu. Ils vont rester dans la ville de Kisangani temporairement dans ce camp de transit jusqu'à ce qu'une solution soit trouvée.
La solution c'est de trouver des pays qui acceptent de le recevoir. Le gouvernement de la Rd Congo à dit tout ce combattant doit quitter la Rd Congo au plus tard 02-01-2015. Après cette date nous lancerons les opérations contre le FDLR qui refuse de désarmé volontairement.
Le samedi dernier j'étais à Kisangani dans le site de transit j'ai parlé avec les ex- combattant de FDLR qui venait de Kanyabayonga et Walungu. Ils vont rester dans la ville de Kisangani temporairement dans ce camp de transit jusqu'à ce qu'une solution soit trouvée.
La solution c'est de trouver des pays qui acceptent de le recevoir. Le gouvernement de la Rd Congo à dit tout ce combattant doit quitter la Rd Congo au plus tard 02-01-2015. Après cette date nous lancerons les opérations contre le FDLR qui refuse de désarmé volontairement.
Donat Mbudibas : - Quelle assurance la Monusco donne aux
prochaines élections en République Démocratique du Congo pour qu'il n'ait pas
de tripatouillage ?
Martin Kobler :- Nous avons un mandat
clair, il est tripartite et permanent ce sont de bons offices, nous discutons
avec la majorité et l'opposition, entre la CNI. Notre rôle c'est d'offrir de bons
offices. La seconde partie se trouvant dans notre mandat c'est le soutient
logistique et scientifique des élections.
La troisième c'est l'assistance technique nous avons 13 collègues qui travaillent quotidiennement dans la CENI. Les élections vont se dérouler sans violence dans la constitutionnalité. C'est ça le discours que nous avons envers les acteurs politiques. Il ne faut jamais utiliser la violence et la force de la rue. Manifester c'est bon mais, elle doit se dérouler paisiblement. C'est ça notre message au gouvernement mais, aussi à l'opposition.
La troisième c'est l'assistance technique nous avons 13 collègues qui travaillent quotidiennement dans la CENI. Les élections vont se dérouler sans violence dans la constitutionnalité. C'est ça le discours que nous avons envers les acteurs politiques. Il ne faut jamais utiliser la violence et la force de la rue. Manifester c'est bon mais, elle doit se dérouler paisiblement. C'est ça notre message au gouvernement mais, aussi à l'opposition.
Quand la Monusco quittera la R d Congo
?
Martin Kobler : - On ne peut pas donner
un délai sur le départ de la Monusco, déjà la stratégie de notre départ sera
proposée par le secrétaire général de nations Unies. Une chose doit être claire
il faut le discuter.
15 ans d'existence de Monusco. Nous allons partir nous ne sommes pas en RDC pour 50 ans, vous êtes un pays souverains dynamique, vous avez la jeunesse qui est l'espoir du pays, vous avez de la richesse naturelle. C'est important que nous développions ensemble les stratégies du départ de la Monusco, mais il faut remplir certain critère à savoir la protection de civile.
Est-ce que l'état, l' autorité de l'état est restaurée? Est-ce que les populations de l'Est sont protégés par le FARDC et la police ? Si tout le monde dit oui c'est maintenant ou jamais nous devons réduire notre présence.
Est-ce que le commerce illicite est une bonne chose pour un pays ? non Voilà 95% de l'or produit ici est exporté illicitement à l'étranger. Nous avons 2,7 millions des déplacés internes, pour moi c'est une indication que 2,7 personnes ne sont pas satisfait de la situation sécuritaire dans leurs régions de provenance.
15 ans d'existence de Monusco. Nous allons partir nous ne sommes pas en RDC pour 50 ans, vous êtes un pays souverains dynamique, vous avez la jeunesse qui est l'espoir du pays, vous avez de la richesse naturelle. C'est important que nous développions ensemble les stratégies du départ de la Monusco, mais il faut remplir certain critère à savoir la protection de civile.
Est-ce que l'état, l' autorité de l'état est restaurée? Est-ce que les populations de l'Est sont protégés par le FARDC et la police ? Si tout le monde dit oui c'est maintenant ou jamais nous devons réduire notre présence.
Est-ce que le commerce illicite est une bonne chose pour un pays ? non Voilà 95% de l'or produit ici est exporté illicitement à l'étranger. Nous avons 2,7 millions des déplacés internes, pour moi c'est une indication que 2,7 personnes ne sont pas satisfait de la situation sécuritaire dans leurs régions de provenance.
Est-ce que la Monusco peut partir dans cette condition où on a 2,7
millions des déplacés internes ? Moi je suis pour
un dialogue avec le gouvernement, avec la société civile et la population pour
discuter des questions sécuritaires et le critère des déplacés internes et de
la protection de civil sur de critère des groupes armés de critère de l'économie
illicite. Vous êtes satisfait de la situation dans les prisons ?
Moi je ne suis pas satisfait, car je visite régulièrement les prisons. Notre départ est un processus ça doit s'accomplir par une amélioration de la bonne gouvernance en RDC. En restaurant le service de base comme la sécurité, la santé et l'éducation et bien d'autre.
Moi je ne suis pas satisfait, car je visite régulièrement les prisons. Notre départ est un processus ça doit s'accomplir par une amélioration de la bonne gouvernance en RDC. En restaurant le service de base comme la sécurité, la santé et l'éducation et bien d'autre.
Zola Loulou : - Où est le drone de la Monusco qui doit
identifier les mouvements des groupes armés qui tuent la population à Beni ?
Martin Kobler : - A l’instant les drones se trouvent à Beni. Les drones sont désormais
opérationnelles en territoire de Beni je vous le confirme. Au mois de janvier
nous aurons besoin d'autres drones pour
lancer l'opération Contre le FDLR "Sokola II" .
Martin Kobler énumère les préalable pour le départ de la Monusco.
Tanya Mulenda :- Vous confirmez que l'armé congolais est
incapable de s'en sortir sans l'appui de la Monusco ?
Martin Kobler :- C'est l'inverse, la Monusco viens en appui aux FARDC. C'est votre FARDC qui a la responsabilité pour sécuriser
la population et la protection des frontières du Congo. Certes, il faut
améliorer certaines chose, nous faisons tout ce que nous pouvons aux côté de FARDC, le mot clef
ici ce la reforme du système de sécurité, le FARDC doit être bien payé, car
c'est eux qui rassure l'autorité de l'état, c'est eux qui garantissent la
sécurité de la population.
Vous avez besoin d'une police et d'une armée qui doit être bien payée. De notre côté à la Monusco nous ne pouvons pas remplacer le gouvernement, nous pouvons les assister en cas de besoin, d'ailleurs nous apportons une assistance aux FARDC en terme de 21 000 soldats de FARDC avec de l'eau de la nourriture et du carburant, chaque mois nous délivrons 400 000 litre de carburant au FARDC. Chaque mois nous donnons au FARDC un million et 250 000kg de la nourriture, c'est ça notre assistance.
Avec la brigade d'intervention vient aux côté de FARDC pendant le combat lorsqu'on nous demande, notre rôle est d'apporter un soutien au FARDC et la police. C'est vraiment important de promouvoir ce travail conjointement avec le gouvernement.
Vous avez besoin d'une police et d'une armée qui doit être bien payée. De notre côté à la Monusco nous ne pouvons pas remplacer le gouvernement, nous pouvons les assister en cas de besoin, d'ailleurs nous apportons une assistance aux FARDC en terme de 21 000 soldats de FARDC avec de l'eau de la nourriture et du carburant, chaque mois nous délivrons 400 000 litre de carburant au FARDC. Chaque mois nous donnons au FARDC un million et 250 000kg de la nourriture, c'est ça notre assistance.
Avec la brigade d'intervention vient aux côté de FARDC pendant le combat lorsqu'on nous demande, notre rôle est d'apporter un soutien au FARDC et la police. C'est vraiment important de promouvoir ce travail conjointement avec le gouvernement.
JP Muteba : -Quelles sont les priorités de la
Monusco en RDC ?
Martin Kobler : - Les priorités de la
Monusco pour la fin 2014- 2015 est claire on a des priorités sur le plan
opérationnel : " le combat au Nord contre les ADF/Nalu ensemble avec le FARDC.
C'est de régler le problème prioritaire stratégique c'est la préparation
militaire contre le FDLR à partir du 02- 01-2015".
Nous avons trois priorités à savoir : "Primo le DDRRR sa coordination sur le plan national et international, ce n'est pas seulement pour le combattant, il faut aussi se poser la question que ce qu'on fait après ça ? Il faut réintégrer les ex-combattants dans la société par exemple la chute du M23 à jeté plus de 4 000 ex combattant qu'il faut intégrer dans la société".
Dommage pour un budget de plus de quatre millions de dollars pour le DDRRR, j'ai vu que le gouvernement ne dispose que de 400 000$ pour cet immense tâche de DDRRR. La Monusco peut partir et nous voulons partir si on a une armée qui est bien équipée et bien entrainé c'est très simple nous discutons avec le gouvernement sur cet aspect nous avons un programme d'entrainement de FARDC qui vise à entrainer six bataillons par an, des entraineurs africains accompagnent le FARDC en brousse pour combattre. C’est un programme qu’on est en train de financer. La dernière priorité c’est des élections
Nous avons trois priorités à savoir : "Primo le DDRRR sa coordination sur le plan national et international, ce n'est pas seulement pour le combattant, il faut aussi se poser la question que ce qu'on fait après ça ? Il faut réintégrer les ex-combattants dans la société par exemple la chute du M23 à jeté plus de 4 000 ex combattant qu'il faut intégrer dans la société".
Dommage pour un budget de plus de quatre millions de dollars pour le DDRRR, j'ai vu que le gouvernement ne dispose que de 400 000$ pour cet immense tâche de DDRRR. La Monusco peut partir et nous voulons partir si on a une armée qui est bien équipée et bien entrainé c'est très simple nous discutons avec le gouvernement sur cet aspect nous avons un programme d'entrainement de FARDC qui vise à entrainer six bataillons par an, des entraineurs africains accompagnent le FARDC en brousse pour combattre. C’est un programme qu’on est en train de financer. La dernière priorité c’est des élections
Jacob :- Quid de la question de la détention des
uniforme de FARD par les UKRENIEN quel est le tenant et les aboutissant par
rapport à cette question ?
Martin Kobler : - Ici la réponse est
claire les ukrainiens ont non seulement commis une offense, mais aussi des
bêtises, ils ont tenté d'acheter les uniformes qui ont été offerts par Une
gardes Républicaine, hélas la presse a
vraiment exagéré j'ai lu dans la presse oh! le pays est en danger.
À cet effet tout le monde
qui connait l'Europe de l'est, même dans mon pays l'Allemagne, c'est un
commerce des uniformes des étrangers, tout le monde vend des uniformes
militaires au marché de Kiev, Berlin est ce la n'a rien à faire avec le Rwanda
ou avec les opérations ou l'espionnage c'est vraiment ridicule.
Ces ukrainiens ont commis une offense, nous allons prendre de mesure au niveau de la Monusco. Retenez que cela n'a rien à faire avec ce que des journalistes ont rapporté. C'était seulement pour vendre ces uniformes pour chercher l'argent.
Ces ukrainiens ont commis une offense, nous allons prendre de mesure au niveau de la Monusco. Retenez que cela n'a rien à faire avec ce que des journalistes ont rapporté. C'était seulement pour vendre ces uniformes pour chercher l'argent.
J'ai été en contact avec les autorités Congolaises nous sommes
d'accord qu'il faut réduire et atténué la tension, car ce la n'a rien à faire avec
l'espionnage comme ont rapporté les médias, ce que je ne partage pas.
José Kazadi : - Monsieur Kobler quelle est la
relations entre la Monusco et le
gouvernement Congolais après l'expulsion se Scott Kambel ?
Martin Kobler : - je ne partage pas
l'avis du Gouvernement. J'ai pris la pleine responsabilité par rapport au
rapport Likofi qui a rapporté neuf morts assassinat et torturé 32 cas de disparus.
Il y a une semaine nous avons lue le rapport de HW qui a rapporté de chiffre
plus supérieur que ça. Par rapport à cette réaction,
j'ai demandé au gouvernement de
revoir bien sa décision. Comme le gouvernement à décider il est souverain dans un
pays souverain. Nous avons assumé les conséquences Scott Kambel est parti.
Malgré ça, nous restons de partenaire
privilégiée et nos contacts sont très fructueux et régulière.
Valérie Mushamuka : - Je félicite les réalisations de
la Monusco depuis que Martin Kobler est arrivé, nous attendons, toujours
l'éradication des groupes armées qui
déstabilisait le Kivu jusque quand ?
Martin Kobler :- On a fait tout ce que
nous pouvons. Quelque part je ne suis pas satisfait avec plusieurs choses, par
exemple le massacre de Mutarhule, vraiment on n'a pas réagi, mais on a assumé
les responsabilités, les commandant qui était en poste à Mutarhule a été rapatrier dans
son pays.
Nous essayons de faire le mieux de nous-mêmes, nous avons vingt
mille soldats et 5 000 civils qui travaillent d'une manière excellente.
C'est une équipe costaud mais, nous n'avons pas la mission de remplacer le gouvernement Congolais. Nous avons beaucoup de défi, nous avons eu certaines erreurs. Moi je suis ouvert aux critiques, car ça nous aide à améliorer notre performance nous allons encourager nos troupes d'être plus puissante et robuste nous allons les inviter à ne plus resté dans nos bases, mais de faire de patrouille à pied pas seulement en voiture.
Nous sommes ici pour prendre des risques parce que les civiles sont en danger nous devons aussi prendre le risque pour ces civiles. Nous avons déclaré à notre arrivée que c'est la fin de la cohabitation avec les forces négatives.
Malgré les risques nous devons aussi risquer pour sauver la population en détresse. Merci pour vos critiques, mais aussi vos encouragements pour ceux qui pensent que le bilan est largement positif.
C'est une équipe costaud mais, nous n'avons pas la mission de remplacer le gouvernement Congolais. Nous avons beaucoup de défi, nous avons eu certaines erreurs. Moi je suis ouvert aux critiques, car ça nous aide à améliorer notre performance nous allons encourager nos troupes d'être plus puissante et robuste nous allons les inviter à ne plus resté dans nos bases, mais de faire de patrouille à pied pas seulement en voiture.
Nous sommes ici pour prendre des risques parce que les civiles sont en danger nous devons aussi prendre le risque pour ces civiles. Nous avons déclaré à notre arrivée que c'est la fin de la cohabitation avec les forces négatives.
Malgré les risques nous devons aussi risquer pour sauver la population en détresse. Merci pour vos critiques, mais aussi vos encouragements pour ceux qui pensent que le bilan est largement positif.
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