L'USG Valérie Amos prononcent son discours à la presse de Goma le 09 mars 2011 à 20h 35'
Des millions de personnes ont rarement connu la paix et la sécurité dans les zones des conflits en RD Congo. Affirmation de Valérie Amos, secrétaire générale adjointe des Nations unies chargée des affaires humanitaires et coordonnatrice des secours d'urgence. Elle appelle une solution régionale. À cela, je me pose la question comment aboutir à cette solution que la communauté internationale regarde d'un seul côté ? À mon humble avis le conflit dont la RDC est victime est une importation régionale hélas ont accuse à tors la République de ne pas fournir d'efforts et pourtant si l'on analyse cette question, cette population de la RDC victime d'une barbarie importée à vue impuissante de la communauté internationale est aussi fruit de son hospitalité.
De gauche à droite le pio Ocha à l'est de la RDC madame Imane CHERIF au centre les interprètes l'extreme droite l'USG Valérie Amos repodant aux questions des journaliste de Goma.
Lors d'une conférence de presse que Valérie Amos à accorder à la presse de Goma à 20h30 heures locale bien que les préoccupations de journalistes n'ont pas été épuisé les préoccupations pendant cette conférence, elle a rappelé que beaucoup de Congolais vivent sans protection et à la merci des groupes armés tant national qu'étrangère ici je précise le Rwandais FDLR qui n'ont aucun respect pour les civils. Selon, il faut, selon elle, démanteler de ces groupes armés pour faciliter le retour des personnes déplacées.
Lors d'une conférence de presse que Valérie Amos à accorder à la presse de Goma à 20h30 heures locale bien que les préoccupations de journalistes n'ont pas été épuisé les préoccupations pendant cette conférence, elle a rappelé que beaucoup de Congolais vivent sans protection et à la merci des groupes armés tant national qu'étrangère ici je précise le Rwandais FDLR qui n'ont aucun respect pour les civils. Selon, il faut, selon elle, démanteler de ces groupes armés pour faciliter le retour des personnes déplacées.
L'ambiance dans la salle les journaliste tout oreille à l'exposé de l'USG Valérie Amaos à Goma.
Des personnes vulnérables, sans assistance humanitaire conséquente et qui font régulièrement face à la faim et aux maladies, selon la diplomate onusienne. D'autre part dans les zones hors conflits, les indicateurs restent alarmants, a-t-elle mentionné, insistant sur l'importance de l'aide humanitaire en faveur de toutes les populations concernées. Diplomatiquement et dans un langage de bois on rassure le congolais : « les Nations unies et leurs partenaires continueront à appuyer le gouvernement de la R d Congo pour la stabilisation de la situation et la promotion du développement», assurance de madame Valérie Amos. Je profite de cette occasion pour poser la question à la communauté Internationale, pourquoi le Rwandais qui sème la désolation en RDC refuse de rentrer chez eux ? Pourquoi cette communauté internationale ne s'implique pas directement pour imposer un retour forcé à ces Rwandais, enfin pourquoi la communauté internationale impose toujours la République démocratique du Congo des formules en non de l'autre côté car, La question de FDLR est régionale ? Moi je suis particulièrement désolé de la façon dont les humanitaires traite la presse à l'est de la RDC dans une ville où la sécurité est fragile l'on invite la presse qui au départ n'a pas de moyen de transport à une conférence de presse à 20 heures 30, en limitent les questions pour embarques les journalistes à merci des humeurs déplacées d'un chauffeur dans un bus de OCHA qui devant ses chefs accepte de ramener chacun à sa destination, hélas à quelque mètre il décide de débarquer tous ses passagers puisque, il ne peut pas. Avec toutes les risques, d'être soit menacé ou perdre son matériel, chacun s'est débrouillé Dieu aidant on n'a pas enregistré un cas d'agression ni de perte de matériel. Voilà le malheur des journalistes dont la vulnérabilité est palpable ils s'arrangent pour informer le public.
Des personnes vulnérables, sans assistance humanitaire conséquente et qui font régulièrement face à la faim et aux maladies, selon la diplomate onusienne. D'autre part dans les zones hors conflits, les indicateurs restent alarmants, a-t-elle mentionné, insistant sur l'importance de l'aide humanitaire en faveur de toutes les populations concernées. Diplomatiquement et dans un langage de bois on rassure le congolais : « les Nations unies et leurs partenaires continueront à appuyer le gouvernement de la R d Congo pour la stabilisation de la situation et la promotion du développement», assurance de madame Valérie Amos. Je profite de cette occasion pour poser la question à la communauté Internationale, pourquoi le Rwandais qui sème la désolation en RDC refuse de rentrer chez eux ? Pourquoi cette communauté internationale ne s'implique pas directement pour imposer un retour forcé à ces Rwandais, enfin pourquoi la communauté internationale impose toujours la République démocratique du Congo des formules en non de l'autre côté car, La question de FDLR est régionale ? Moi je suis particulièrement désolé de la façon dont les humanitaires traite la presse à l'est de la RDC dans une ville où la sécurité est fragile l'on invite la presse qui au départ n'a pas de moyen de transport à une conférence de presse à 20 heures 30, en limitent les questions pour embarques les journalistes à merci des humeurs déplacées d'un chauffeur dans un bus de OCHA qui devant ses chefs accepte de ramener chacun à sa destination, hélas à quelque mètre il décide de débarquer tous ses passagers puisque, il ne peut pas. Avec toutes les risques, d'être soit menacé ou perdre son matériel, chacun s'est débrouillé Dieu aidant on n'a pas enregistré un cas d'agression ni de perte de matériel. Voilà le malheur des journalistes dont la vulnérabilité est palpable ils s'arrangent pour informer le public.
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