vendredi 3 décembre 2010

La ville de Kisangani non seulement martyr, mais aussi vielle.


Enfin j'ai foulé mes pieds à Kisangani où je suis passé plusieurs fois en transit, A bord de l'avion d'une compagnie, nous avons survolé le ciel sous une verdure de la forêt équatoriale, sous une beauté verte serpenté par le fleuve Congo, dans 45 minutes nous avons atterris sur la piste de l'aéroport de Bangboka. Nous nous sommes dirigé en ville, ou tout me paraissait nouveau, une vielle architecture de l'époque coloniale que je me suis rendu compte que je suis dans la capitale Boyomaise. Avec mon appareil je n'ai pas cessé d'appuyer sur le déclencheur de mon Nikon.
Pas de nouveauté en matière architecturale.
Le couché du soleil reflétant la prospérité de la ville de Kisangani et ses environs sous le fleuve Congo
La Centrale hydro-électrique de Tshopo qui donne la lumière dans la ville et ses environs

La chute de Wagenya

La chose qui m'a fort touché c'est le moyen de transport des Boyomais. Nous étions embarqués dans un mini bus apparemment neuf hélas son collecteur nous dégageait la fumée à l'intérieur, quelle calvaire de parcourir plusieurs kilomètres dans cet état. La journée tout le monde s'occupe de ses oignons la nuit c'est autre chose toute cette vieillesse se cache sous la lumière des lampadaires qui illumine la beauté des filles en majorité svelte, j'ai vraiment admiré la quiétude de Boyoma pas un seul signe d'insécurité comme il est le cas dans d’autres villes dans la partie est de la RDC. Ce que j'ai trouvé de plus particulier à Kisangani est que tout a vieillis, même le site touristique du Wagenya jadis miroir historique de Kisanganga, je me demande est ce la paresse ou les cinq chantiers !

Le vélo (Toleka) un moyen pour desservir le centre urbain de Kisangani en vivre

mercredi 1 décembre 2010

Fêter avec faste, mais le PVV aux abois stabilisation de la propagation hypothétique

Quid du slogan Stop Sida, Tenir les promesses?
Déjà 22 ans depuis que la journée du 1èr décembre est consacre une journée internationale de la lutte contre le sida. Je me frotte les mains lorsque mon pays est parmi les pays qui viennent de stabiliser la propagation du VIH, hélas je déplore la diminution de l'assistance en nanti rétro-viraux suite au manque de financement qui baisse le traitement de personnes vivant avec le VIH/sida dans mon pays. Je suis de cœur avec les personnes vivantes avec le sida, car ça nous concerne tous de près et de loin. Lorsque je me promène dans les rues de Goma et je vois placardé des banderoles avec de message fort comme : « Accès universel et droit humain avec slogan Stop le Sida, tenir les promesses » je me de mande en quoi consiste tout cela, est-ce que les personnes vivantes avec le VIH/ Sida sont concernés ou c'est du remplissage pour la visibilité les dépenses de personnes vivante grâce au Sida ? Le sida comme la violence est devenue une forme de fond de commerce au détriment de concerner. Comment tenir les promesses lorsque les personnes vivantes avec le sida de Goma lance un cri de détresse par rapport au manque de ARV un médicament qui leur donne à nouveau une espérance de vie ! Est-ce le moment de festoyer bien que décrété journée internationale pour la lutte contre le sida lorsque l'assistance va en baisse en République Démocratique du Congo ? Je suis vraiment sidéré lorsque ce cri de détresse sonne dans les oreilles de sourd, quelle que soit la multiplicité des ONG sur la violence sexuelle et le Sida, mais le malade reste en compte. L'espoir de redoubler la stabilisation du VIH/ Sida en République Démocratique du Congo stagne.

Attention à la quinine piratée sur le marché de médicament


L'inspection provinciale de la santé vient d'appréhender des faux médicaments dans certaines structures médicales de la ville de Goma, j'ai été estomaquée de voir que le produit pharmaceutique sont piratés dans une région tropicale où le paludisme est en vogue. Il est hors question de se taire face à ce crime qui prend de l'ampleur inquiétante. Savez vous que le médicament est un poison s'il est mal utilisé. Je me demande jusque quand cet esprit de sadique va continuer beaucoup de personnes meurt à cause de ces pirates qui bourrent le marché avec de médicament piratée et nous malade on nous administre ça c'est pourquoi nous mourons et pourtant nous avons été soignés dans des structures médicales.


J'ai la chaire de poule je me demande pourquoi les gens sacrifie les autres à cause de l'argent ? Les fabriquant de ces fausses quinine sont conscients de la gravité de ce qu'ils sont en train de faire ? L'inspecteur provincial de la santé à tapé le poing sur la table contre cette piraterie de la quinine qui n'a aucune dose ni de la quinine ni d'un quelconque médicament.

Désormais nous devons nous rassurer si nous devons être soignés de la quinine, sur la bonne quinine il est gravé la lettre Q et le mauvais possède une ligne au centre, attention il est difficile de le distinguer, car ils sont emballés dans un même emballage, la seule différence est sur la fausse les écrits sont en deux couleurs le Rouge- vert tandis que les vrais à l'unique couleur verte. Nous devons faire attention le méchant ont piraté la quinine de la pharmakina contre le pauvre malade de la province du Nord Kivu. Ça nous concerne tous dénoncez les avant que ça tourne au vinaigre.