J’étais révolté quand j’ai photographié cette scène. Vraiment nous achetons le microbe par notre propre argent. C’est en pleine aire que j’ai retrouvé une femme qui ramassait l’huile de palme ; A l’est de la RDC comme les routes sont quasi inexistantes le commerçant pour transporter l’huile de palme en provenance de Kisangani, Kindu, Kalima et préfère ne plus emballé l’huile dans le bidons ou dans le fut. Tout cela pour gagner de l’espace dans les Antonov qui ramène cette denrée dans les centres de consommation. Dans son état liquide, il est emballe dans de sac en plastique communément appelé « Kafindondo ». Avec tout le risque l’huile de palme traverse des Kilomètre hélas les mesure d’hygiène sont très précaire surtout lorsque ces récipient cède. Le « Kafindondo » une ingéniosité peu rassurant à la santé.
mercredi 18 février 2009
Un nouvel emballage pour le transport d’huile de palme.
Cette femme ramasse l’huile versée sur la route.
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