jeudi 16 novembre 2017

On ne se moque pas d'un peuple que l'on cherche dirigé en s'appuyant sur des textes calqués et taillés sur mesure

Editorial Picha na Mazungumuzo

J’ai honte à  la place de la classe politique congolaise, pourquoi se moque d’un peuple que l’on cherche dirigé ou carrément que l’on dirige ?  C’est chaque jour que l’on nous bourre les têtes avec des mots d’ordres pour notre propre auto destruction ? On nous apprend à craché dans la marmite des aliments que nous sommes en train de consommer. La classe politique congolaise doit apprendre à respecter le peuple ! Plus jamais ça, ici j’invite le congolais d’être regardant on ne doit plus rester aveugle pour demeurer embrigader dans l’ignorance cette classe politique tâtonne pour leur propre intérêt, les uns nous inviter de faire la rue pour casser crier contre l’autre camp, d’autre résiste avec toute les conséquences « c’est notre sang qui coule ». 
 


 On a aveuglement voté notre constitution au référendum avec comme thème : «  si vous voté oui c’est la fin de la guerre et si on vote non c’est la guerre ».  Ils ont gagnés le pari et lorsque certain ne se retrouve pas. Ils viennent encore vers nous. Est-ce qu’ils ont le temps de vulgariser cette  constitution hélas ils ont seulement focalisé leurs vulgarisation sur deux articles ou trois dans cette constitution calqué et taillé sur mesure. La classe politique congolaise doit arrêter de nous traiter pour des idiots nous ne sommes plus de lettré qui gobe sans analyse. Je nous invite de lire et d’analyser l’article 64, il y a de la matière pour nous tous.
 Comment demander une chose et son contraire le cas échéant la mobilisation populaire que l’on nous demande ; oh  quelle cacophonie ?  Les uns nous invite à faire des manifestations pacifique de la rue  notamment marcher pour seulement injurier les policiers le brulé et le lynché, on renvoi le peuple dans la rue sans aucune formation civique !



Toute cette population que l’on jette à la boucherie nombreux ne connaissement même pas chanter notre l’hymne nationale, grave encore les articles de la constitution qu’eux-mêmes avait placé de verrou pour leurs propre intérêt. Trop c’est trop  « to lembi bino »