mercredi 22 août 2012

Le malheur vient encore de frapper à la porte des déplacés, nous voulons la paix

 Une vue panoramique du camp des déplacés de Mugunga 1. (Photo d'archive 2008 Alain Wandimoyi)

Un enfant de trois ans est mort le soir du lundi, 19 août 2012, dans l'incendie d'un abri provisoire au camp des déplacés de Mugunga 1. Situé à une dizaine de kilomètres de Goma, sur la route Goma-Saké. L'incendie s'est déclaré vers 20 heures locales, indique le chef de quartier de Mugunga. Selon la même source, la mère de la victime s'était absentée en laissant du feu allumé au charbon de bois alors que la fillette dormait. Elle est morte calcinée, malgré l'intervention des autres déplacés venus à la rescousse. Plus jamais ça c'est atroce. Pourquoi ces agitations, je me demande toujours pourquoi ceux qui se battent n'ont que de discours comme: «Nous nous battons pour notre peuple"! Cette phrase m'étonne beaucoup lorsque je vois la souffrance qu'ils imposent à ce peuple qu'ils se vantent protégé. ça doit cesser nous voulons la paix.
 Déplacé et imposé à la faim! Vous vous battez pour qui maintenant? Ces enfants n'ont pas choisit ce mode de vie que vous les imposez.
Des enfants sont des victime de la barbarie des politiciens, c'est sous un froid atroce que cet enfant subit la gloutonnerie des mouvement rebelle dans la province du Nord Kivu
 Des cas d'incendie se répète dans le camps, les de placé sont toujours victime doublement

C'est une interpellation pour chacun, avant de décider par rapport à sa gourmandise de pouvoir s'arrêter et prendre du recul. Imaginez si c'était ton enfant dans ces condition quelle serait ta réaction?

mardi 21 août 2012

Des enfants déplacés et d'accueils risquent de ne pas étudier


 Plusieurs enfants du Nord-Kivu pourraient ne pas avoir accès à leurs écoles le 3 septembre, jour prévu pour la rentrée scolaire 2012- 2013. Suite à la persistance du conflit dans le territoire de Rutshuru, nous observons une marré humaine dans des salles de classe à Kanyaruchinya et Mugunga I, II, III ; devant cette situation qui ne fait que s'aggraver le contexte de la scolarisation des enfants déjà difficiles en province démontre que la rentrée scolaire dans les contrains précité semble être hypothétique.


 Car beaucoup d'écoles ont servi de lieu de refuge. Cette réalité dégradante inquiète beaucoup des parents des enfants de la population accueille, qui craigne que la rentrée de classe soit effective à la date prévue.

 Surtout des cris d'alarme que l'Unicef qui vient de lancer un cri d'alarme aux pays donateur qui ne vienne toujours pas. Beaucoup d'écoles aux Nord Kivu sert d'abri aux déplacés: « Nous avons dénombré jusqu'ici 258 écoles pillées, détruites ou incendiées ou encore occupées. Ce qui fait qu'au moins soixante mille enfants pourraient ne pas avoir accès à leurs écoles au 3 septembre. Parmi eux, il y a aussi des enfants déplacés.»




L'Unicef a prévu de récupérer tous les enfants déplacés qui sont dans des camps, des familles d'accueil ou d'autres sites déterminés. « Ils seront pris en charge parce que parmi eux, la plupart n'ont même pas fini l'année scolaire passée. Ils n'ont pas de bulletins », a déclarée Marcelline Eboma pour elle la première chose à faire, c'est de permettre à ces enfants de terminer l'année 2011-2012 par des cours de récupération avant d'être admis dans des écoles d'accueil. Les affrontements armés sont récurrents dans plusieurs localités de cette province de l'Est de la RDC. Chassé par la guerre du M23,  crée en début du mois d'avril dernier.


 Ces affrontements ont jeté des milliers des déplacés vers d'autres localités de la province. Pour organiser les épreuves écrites de l'examen d'état 2011-2012, en juin dernier, le ministère de l'Enseignement primaire secondaire et professionnel (EPSP) avait dû délocaliser certains centres, comme celui de Jomba, afin de permettre aux élèves de passer leur examen en sécurité. Quid de la rentrée scolaire 2012-2013?

lundi 20 août 2012

Le sort de la chèvre très sollicité dans des terrasses à Kinshasa, mais cher


Franchement la viande de chèvre est très populaire à Kinshasa. La consommation de la bière est une réalité dans ce miroir de la République, pendant que la boisson coule à flot la chèvre dit « Ntaba ». attaché à côté,un est un innocent qui attendant son sort ! Tenez cette dernière souffre d'une maladie qu'on appelle grillade. Cette viande n'est pas accessible à tout le monde, car son prix est vraiment au paroxysme. Pour manger un petit morceau de moins de 100 grammes de chèvre à Kin, il faut avoir de biceps dans la poche. Ne vous approchez même pas si vous n'avez rien en poche vous êtes un candidat du reflex de Pavlov. La chèvre est pourtant présente et disponible dans plusieurs terrasses à Kinshasa, mais les vendeurs en donne aux plus forts. Des petits morceaux à un prix inadapté. La consommation de ces viandes démontre et prouve que l'on accuse à tors Kinshasa d'être une ville où il y a pas la nourriture à nourrir ses habitants, notre diaphragme à constater le contraire : « chacun fait sa loi de sa manière, on de Congolais se compliquent inutilement la vie ».