Une accolade d'espoir aux dépendant des combattant candidat volontaire à la démobilisation. 2008-06-10, Note info, Fin Visite Conseil sécurité en RDCDix combattants des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) lourdement armés et 31 de leurs dépendants (12 femmes et 19 enfants), se sont rendus à une patrouille conjointe MONUC/FARDC, dans la nuit du 23 au 24 avril 2009, dans la localité de Mikumbi, au sud ouest de la cité de Masisi, située à 90 kilomètres de Goma, au Nord Kivu. Ils ont été confiés à l'équipe de Démobilisation, Désarmement, Rapatriement, Réintégration et Réinsertion (DDRRR) de la MONUC et transférés à Goma, en vue de leur rapatriement dans la sécurité et dans la dignité au Rwanda, ainsi que de leur intégration au sein du Programme national de démobilisation et de réinsertion dans la vie civile. Lors de leur reddition, les combattants ont remis neuf armes (six AK47, 2 M-16, 1 carabine 9mm), et un important stock de munitions. 2008-06-10, Note info, Fin Visite Conseil sécurité en RDC La MONUC lance un nouvel appel urgent aux autres combattants FDLR pour qu'ils saisissent la chance qui leur est toujours donnée, dans le cadre de la campagne KIMIA 2, de déposer pacifiquement les armes et de rejoindre le programme DDRRR de la MONUC, qui reste ouvert.Un officier militaire de la Monuc présente à l'assemblé une arme lourde des FDLR
Quelques armes que les combattant FDLR candidat volontaire à la démobilisation ont remis à la Monuc
La pression militaire en cours et qui va s'accentuer a déjà fortement affaiblie les structures militaires, d'approvisionnement et d'accès aux ressources des FDLR. La vie en brousse va continuer à se détériorer et devenir de plus en plus difficile. Tenez : Entre le 1er janvier et le 25 avril 2009, la section DDRRR de la MONUC a rapatrié 1668 ex combattants FDLR et leurs dépendants (586 ex combattants et 1082 dépendants).À noter que la moyenne mensuelle de rapatriement des ex combattants depuis le début de l'année 2009 est d'environ 146, soit quatre fois plus que la moyenne mensuelle en 2008, qui s'élevait à 37. Faut-il toujours donner la carotte aux FDLR aux lieux d'une répression foudroyante ! C'est toujours les paisibles citoyens de Walikale, Masisi, Rutshuru, Lubero, Luofu qui en payent le prix.
Les FDLR dans le territoire de Lubero tue et saccage des villages Des congolais continuent de fuir leurs maisons par crainte des attaques de représailles des rebelles hutus (FDLR). Estimé à plus de 100 000 personnes ont été déplacées par ces raids, durant les deux derniers mois. Dans le village de Luofo, situé à environ 170 kilomètres de Goma, les FDLR ont proféré de nouvelles menaces contre les communautés locales. Ces rebelles des FDLR font du porte-à-porte et ils sèment la terreur, disant à ce qu'ils rencontrent : « vous allez tous mourir ». Ils ont déjà attaqué Luofo et Kasiki les 17 et 18 avril, tuant plusieurs personnes, notamment des enfants et brûlant plus de 365 maisons.
Des massacres après avoir violé et brûle les maisons à Luhofu dans le Nord Kivu. La population de Luofu refuse de quitter le village. Tandis qu'à Lubero et ses alentours, la situation de milliers des déplacés internes se détériore ils n'ont pas reçu une assistance depuis qu'ils sont arrivés il y a deux mois. La situation des familles locales hébergeant certains des déplacés devient extrêmement difficile, car elles n'ont plus de nourriture et elles ne peuvent plus aider ces personnes. Notons que 2 300 déplacés internes, venu de Kasuo, situé à environ 45 kilomètres à l'ouest de Lubero, vivent dans les familles d'accueille ne sont pas non plus assisté. Mais les humanitaires traverses le moment d'insécurité généralisées causé d'une part par les militaires FARDC et le combattant FDLR. Les FDLR ont intensifié leurs raids de représailles contre les civils dans le Nord-Kivu, après la fin de l'offensive militaire conjointe rwandaise et congolaise contre le groupe rebelle à la mi-février. Les rebelles visent également des convois humanitaires, des ONG et des véhicules commerciaux. Sous un silence des Congolais qui ont critique nuit et jour les opérations conjointe qui avait comme mission de mettre le FDLR hors d’état de nuire mais hélas.